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Carte blanche au Forum d'Avignon. Qui détient le pouvoir ?

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- 48%, c’est la part éditeur pour un livre ou film numérique (contre 30% du prix HT pour un livre papier, et 17% sur les DVD physiques). L’étude propose d’aborder les relations de ‘pouvoirs’ entre les ‘consommateurs’ de produits culturels et les entreprises, entre créateurs et marques, entre ICC et ITC pour maîtriser la chaîne de valeur. Enfin, l’étude suggère des propositions qui pourraient être faites pour rendre l’écosystème plus vertueux.

Carte blanche au Forum d'Avignon. Qui détient le pouvoir ?

Pour l’ouverture du Festival de Cannes, le Forum d’Avignon et Cineuropa s’associent pour une carte blanche sur le cinéma et l’Europe.

Le Forum d’Avignon propose une sélection d’articles et d’études sur le lien entre culture et économie, analysant les tendances  culturelles et la chaîne de valeurs des produits culturels.

Autre que l'étude proposé ci-dessous, le Forum propose le dossier Europe de la Culture, une synthèse intéressante des débats actuels, des programmes européens de soutien au secteur culturel en ajoutant des propositions. Pour en savoir plus sur les nouvelles tendences de consommation culturelle, l'étude de Bain & Company, Les nouvelles prescriptions : de l'abondance à la decouverte, est disponible ici.
 

A travers l'étude Créateurs, producteurs, distributeurs, consommateurs, pouvoir publics...qui détient le pouvoir? Kurt Salmon essaie d’éclairer des initiatives qui consolident les vertus d’un écosystème de financement et de diffusion de la création dans un contexte où illusions et manipulations sont notoires. 

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 La double conjonction de la facilité d’accès et l’efficacité du Big data nourrit deux illusions de la culture de la demande  que l’étude contribue à modérer. Si les consommateurs interrogés sont convaincus d’avoir pris le pouvoir, ils ne contribuent guère encore au financement de la création  (mais l’effet d’empathie et d’entraînement du crowdfunding  est stimulant). Si la recommandation issue des moteurs de recherches et la valorisation des données personnelles ont le vent en poupe (d’autant qu’elles permettent à moindre frais de personnel d’animer la curiosité des consommateurs), les suggestions sont par nature conservatrices , peu enclines à valoriser le risque : le scoring  de la franchise confirmée étant plus rentable que la création originale. Leur impact oblige cependant tous les autres acteurs à se remettre en question face à un risque réel de position dominante des pure players  de la distribution digitale.

 
Le chiffre clé :  48%, c’est la part éditeur pour un livre ou film numérique (contre 30% du prix HT pour un livre papier, et 17% sur les DVD physiques).
A partir d’une double enquête internationale (sur la « consommation », l’intérêt et les perspectives de ‘consommation’ culturelle d’environ 5 000 consommateurs dans quatre pays : France, Allemagne, USA, Chine) et individuelle (30 à 50 entretiens de principaux acteurs ICC de la chaîne de valeur), l’étude propose d’aborder les relations de ‘pouvoirs’ entre les ‘consommateurs’ de produits culturels et les entreprises, entre créateurs et marques, entre ICC et ITC pour maîtriser la chaîne de valeur. Enfin, l’étude suggère des propositions qui pourraient être faites pour rendre l’écosystème plus vertueux.
 
Pour lire la suite, cliquez ici.
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