email print share on Facebook share on Twitter share on LinkedIn share on reddit pin on Pinterest

LECCE 2017

Le Festival du Cinéma Européen de Lecce célèbre sa 18e année avec Frears, Holland et Mastandrea

par 

- Isabella Ferrari, Citto Maselli et Nuri Bilge Ceylan sont les autres personnalités incontournables de l’évènement organisé du 3 au 8 avril. Douze titres européens sont en lice pour l’Olivier d’Or

Le Festival du Cinéma Européen de Lecce célèbre sa 18e année avec Frears, Holland et Mastandrea
Stephen Frears, Agnisezka Holland et Valerio Mastandrea, trois des invités d’honneur du 18e Festival du Cinéma Européen célèbre

C’est avec une réflexion sur la difficile situation de l’Europe d’aujourd’hui et sur le cinéma comme moyen de mettre en avant les racines communes que s’est ouvert à Rome, ce matin, le 18e Festival du Cinéma Européen de Lecce, organisé du 3 au 8 avril 2017. Pour fêter sa majorité, le festival, dirigé par Alberto La Monica et Cristina Soldano, commencera par un hommage aux cinquante ans de la disparition de Totò, avec l’avant-première de la version restaurée de Chi si ferma è perduto de Sergio Corbucci. Cette année, l’évènement n’accueillera pas moins de six invités d’honneur. Aux personnalités phares du cinéma européen, Agnieszka Holland et Nuri Bilge Ceylan (lire l’article), s’ajoute Stephen Frears, qui rencontrera le public de Lecce au moment de recevoir l’Olivier d’Or pour l’ensemble de sa carrière. Certains succès du réalisateur britannique ont été proposés à nouveau : Les Liaisons Dangereuses, High Fidelity, Philomena [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Stephen Frears
fiche film
]
et plus récemment Florence [+lire aussi :
bande-annonce
making of
fiche film
]
Foster Jenkins. Parallèlement, les protagonistes du cinéma italien sont : Valerio Mastandrea, récent vainqueur du David di Donatello du meilleur Acteur dans un rôle secondaire (pour Fiore [+lire aussi :
critique
bande-annonce
Q&A : Claudio Giovannesi
fiche film
]
), l’actrice Isabella Ferrari (Quiet Chaos [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Antonello Grimaldi
interview : Domenico Procacci
fiche film
]
, A Perfect Day [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
, La grande bellezza [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Paolo Sorrentino
fiche film
]
) et le réalisateur Citto Maselli, dont les projets présentés comprennent, entre autres, Gli indifferenti, Lettera aperta a un giornale della sera, Il sospetto, Le ombre rosse [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
.

(L'article continue plus bas - Inf. publicitaire)

Douze titres en avant-première nationale sont en lice pour l’Olivier d’Or et les Prix FIPRESCO, Cineuropa et SNGCI. On y retrouve des histoires de jeunes avec A Date for Mad Mary [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
de Darren Thornton (Irlande), In the Blood [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Elliott Crosset Hove
interview : Rasmus Heisterberg
fiche film
]
de Rasmus Heisterberg (Danemark), When the Day Had No Name [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Teona Strugar Mitevska
fiche film
]
de Teona Mitevska (Belgique et Macédoine) et Compte tes blessures [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Morgan Simon
fiche film
]
de Morgan Simon (France) ; mais aussi des discussions sur les dynamiques familiales avec My Happy Family [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Nana Ekvtimishvili, Simon …
fiche film
]
de Nana & Simon (Géorgie), une enquête sur une affaire de violence domestique dans Hands of a Mother [+lire aussi :
bande-annonce
interview : Florian Eichinger
fiche film
]
de Florian Eichinger (Allemagne), des problèmes de communication dans Home is Here [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Tereza Kotyk
fiche film
]
de Tereza Kotyk (Autriche) et enfin, Album [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Mehmet Can Mertoglu
fiche film
]
de famille de Mehmet Can Mertoglu (Turquie/France/Roumanie), Framing Mom [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
de Sara Johnsen (Allemagne/Danemark/Norvège), The Constitution [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Rajko Grlić
fiche film
]
de Rajko Grlic (Croatie/République tchèque/Slovénie), Forest, 4am. [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
de Jan Jakub Kolski (Pologne) et Vivre et autres fictions [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Jo Sol
fiche film
]
de Jo Sol (Espagne).

La section dédiée à la Comédie européenne, qui comprend cinq œuvres présentées en avant-première italienne, est également à souligner : The Bloom of Yesterday [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
de Chris Kraus, The Carer [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
de Janos Edelenyi, Tiger Theory [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
de Radek Bajgar, Vincent [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
de Christophe Van Rompaey et The Migrumpies de Arman T. Riahi. En outre, la section Cinéma et Réalité fera place à des thèmes de société importants : Un altro me [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
de Claudio Casazza, un film sur les premiers tests de ‘’traitement renforcé’’ en prison pour les coupables de violences sexuelles ; Silenzi e parole [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
de Peter Marcias et Austerlitz [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
de Sergei Loznitsa.

Le Festival du Cinéma Européen accueillera, comme à son habitude, le Prix Mario Verdone (lire l’article). Les finalistes de cette huitième édition sont : Marco Danieli (L’Affranchie [+lire aussi :
critique
bande-annonce
making of
interview : Marco Danieli
fiche film
]
), Fabio Guaglione et Fabio Resinaro (Mine [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
), Michele Vannucci (I was a Dreamer [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Alessandro Borghi
interview : Michele Vannucci
fiche film
]
). Gabriele Mainetti (On l’appelle Jeeg Robot [+lire aussi :
critique
bande-annonce
making of
interview : Gabriele Mainetti
fiche film
]
) bénéficiera d’une reconnaissance spéciale, ‘’un hors catégorie qui a ouvert de nouveaux sentiers’’, selon Carlo Verdone. Le Prix Emidio Greco sera remis pour la cinquième année à un jeune réalisateur italien pour récompenser un court-métrage de talent.

Enfin, le public de Lecce pourra découvrir (ou redécouvrir) trois films, finalistes au Prix LUX 2016 : le gagnant, Toni Erdmann [+lire aussi :
critique
bande-annonce
Q&A : Maren Ade
fiche film
]
de Maren Ade, À peine j’ouvre les yeux [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Leyla Bouzid
fiche film
]
de Leyla Bouzid et Ma vie de courgette [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Claude Barras
fiche film
]
de Claude Barras.

(L'article continue plus bas - Inf. publicitaire)

(Traduit de l'italien)

Vous avez aimé cet article ? Abonnez-vous à notre newsletter et recevez plus d'articles comme celui-ci, directement dans votre boîte mail.

Privacy Policy