28/09/2017 - Le 3e et dernier volet de l’hyper populaire série de comédies de Bora Dagtekin va bientôt repartir à l’assaut du système éducatif allemand

À présent que les écoles ont fait leur rentrée, ce sont les cinémas qui préparent celle de la turbulente équipe de Fack ju Göhte 3, le troisième et dernier volet de la saga Un prof pas comme les autres [+lire aussi :
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fiche film] de son titre français, une trilogie politiquement incorrecte écrite et réalisée par Bora Dagtekin dont les deux premiers chapitres ont fait à eux deux plus de 15 millions d’entrées, s’inscrivant parmi les films allemands les plus populaires de tous les temps. En attendant le 26 octobre, date de lancement prévue par Constantin, qui produit et distribue le film, la bande annonce et l’affiche de Fack ju Göhte 3 [+lire aussi :
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fiche film] ont été dévoilées il y a quelques jours.

Le personnage de braqueur de banque Zeki Müller (Elyas M'Barek), devenu prof par un étrange concours de circonstances au collège et lycée Goethe après sa sortie de prison, se retrouve ici de nouveau au centre de péripéties hautes en couleur où interviennent des chiens, Superman et Faust 2, tandis qu’il essaie tant bien que mal de faire passer leur bac à Chantal (Jella Haase), Danger (Max von der Groeben), Zeynep (Gizem Emre), Burak (Aram Arami) et le reste de la classe. Débordé, de même que Madame le proviseur Gudrun Gerster (Katja Riemann), il va explorer des méthodes peu conventionnelles d’ordre vétérinaire qui ne seront pas forcément du goût de sa nouvelle collègue Biggi Enzberger (Sandra Hüller, de Toni Erdmann [+lire aussi :
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Q&A : Maren Ade
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La vaste équipe du film, qui comprenait aussi le chef-opérateur Markus Nestroy, la chef-décoratrice Eva Maria Stiebler (déjà responsable des décors d’Un prof pas comme les autres 2) et la costumière Eva Maria Stiebler (qui s’est occupée de toute la trilogie), a tourné du 28 mars au 18 juin à Munich et dans ses environs.

Le projet Fack ju Göhte 3 a reçu le soutien du fonds régional bavarois FilmFernsehFonds Bayern (1,2 million d’euros), du Medienboard Berlin-Brandenburg (500 000 euros) et de la FFA-Autorité de régulation du cinéma allemand (700 000 euros).

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