04/06/2025 - Barry Keoghan, Riley Keough et Harry Melling au casting du premier film en langue anglaise du cinéaste russe, piloté par Why Not Productions et vendu par Goodfellas

L'acteur Barry Keoghan (© 2024 Fabrizio de Gennaro per Cineuropa - fadege.it, @fadege.it), l'actrice Riley Keough (© Georges Biard) et l'acteur Harry Melling (© 2025 Fabrizio de Gennaro per Cineuropa - fadege.it, @fadege.it)

Très remarqué à Cannes Un Certain Regard en 2017 et en 2019 (avec le prix de la mise en scène à la clé) avec ses deux premiers longs, Tesnota – Une vie à l’étroit [+lire aussi :
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fiche film] et Une grande fille [+lire aussi :
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fiche film], le jeune cinéaste russe Kantemir Balagov (33 ans) a bouclé en mai dans le nord de la France le tournage de Butterfly Jam, son premier film en langue anglaise qui raconte l'histoire d'un père et d'un fils. Un film sur la brutalité et la tendresse, et sur le difficile passage à l'âge adulte.

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Au casting se distinguent l’Irlandais Barry Keoghan (nommé à l’Oscar 2023 du meilleur second rôle pour Les Banshees d’Inisherin [+lire aussi :
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fiche film], apprécié récemment dans Bird [+lire aussi :
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fiche film] et Le Clan des bêtes [+lire aussi :
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fiche film]) l’Américaine Riley Keough (appréciée notamment dans American Honey [+lire aussi :
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Q&A : Andrea Arnold
fiche film] et la série Daisy Jones and The Six, prochainement dans Rosebush Pruning) et l’Anglais Harry Melling (révélé dans la saga Harry Potter, à son avantage entre autres dans la série Le Jeu de la Dame et récemment à Cannes dans Pillion [+lire aussi :
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fiche film]). Sont également entre autres de la partie Tommy McInnis et l’Italienne Monica Bellucci (vue l’an dernier dans Paradis Paris [+lire aussi :
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fiche film] et Beetlejuice Beetlejuice).

Écrit par le réalisateur et Maria Stepnova, le scénario est centré sur Pyteh, 15 ans qui vit dans la communauté circassienne du New Jersey où son père et sa tante tiennent un restaurant spécialisé dans la cuisine circassienne. L'entreprise est en difficulté. Lorsqu'il ne donne pas un coup de main au restaurant, le garçon s'entraîne pour devenir lutteur professionnel. Après qu'un des projets malavisés de son père ait mal tourné, Pyteh doit faire face à l'homme que son père bien-aimé est - et n'est pas - et se retrouve confronté à une violence qui le forcera à grandir plus vite qu'il ne le souhaiterait…

Butterfly Jam est produit par Pascal Caucheteux pour la société parisienne Why Not Productions avec la société américaine AR Content et avec Goodfellas (qui pilote les ventes internationales), et coproduit par Arte France Cinéma et par Pictanovo (région Hauts-de-France). La direction de la photographie a été assurée par Jomo Fray (Nickel Boys).

Pour mémoire, Why Not Productions compte notamment à son actif récent Indomptables [+lire aussi :
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interview : Thomas Ngijol
fiche film] de Thomas Ngijol (découvert le mois dernier à la Quinzaine des Cinéastes et qui sortira en France le 11 juin), et en post-production Une affaire d’Arnaud Desplechin et Fjord du Roumain Cristian Mungiu (lire la news).