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COPRODUCTION Luxembourg

Samsa rameute l’Europe pour soutenir un oiseau

par 

La maison de production Samsa Film, qui depuis un peu plus de vingt ans, produit et coproduit depuis le Luxembourg des films d’art et d’essai vient de terminer la postproduction du premier film de Robinson Savary, Bye bye Blackbird [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
, actuellement en toute fin de finition. Fils du dramaturge français Jérôme Savary, Robinson Savary est avant tout photographe, mais ce n’est pas la première fois qu’il passe derrière la caméra puisqu’on lui doit quelques clips et trois courts métrages, dont notamment, Falstaff sur la Lune, présenté à la Semaine de la critique à Cannes en 1993.

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Samsa Film, qui assure la production déléguée, a trouvé en l’allemand Reverse Angle Factory un premier partenaire. Les anglais d’ Ipso Facto et les autrichiens de Dor Films ont ensuite rejoint l’aventure épique d’un film dont la production a commencé en 1998. Soutenu par Eurimages et par d’autres organismes dans chaque pays coproducteur (le Film Fund Luxemburg, le Great British Films …), le budget du film a pu s’élever à 6 700 000 euros. Le tournage a commencé à l’automne 2003 pour s’achever au tout début de l’année 2004 au Luxembourg où le décor principal, un cirque, a été reconstitué dans son intégralité. Depuis, le film était en postproduction, un long travail de montage, mais aussi d’effets spéciaux et d’étalonnage qui a eu lieu surtout en Angleterre pendant près d’un an. Si le film a désormais trouvé en Moviehouse Entertainment un vendeur international, des pourparlers sont en courts concernant les distributeurs.

Interprété par James Thierrée, Sir Derek Jacobi, Jodhi May, Izabella Miko,et Michael Lonsdale, Bye Bye Blackbird noue l’histoire d’un cirque dans les années 1900 à une histoire d’amour et d’envols. Josef, funambule des constructions métalliques aériennes, en descend un jour définitivement parce que son ami en est tombé trop vite pour se relever. Mais sur une affiche de cirque, il croise le vol d’une trapéziste qu’il veut dès lors aimer et s’engage dans le cirque. Bien qu’il faille sans doute compter avec Cannes ou Venise, Bye Bye Blackbird dont les premières photographies laissent déjà présager une belle et forte esthétique, devrait enfin se poser sur les écrans à l’automne 2005.

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