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CANNES 2013 Marché / France

Wild Bunch règne toujours

par 

- Avec six prétendants à la Palme d’Or 2013 sur son line-up, l’équipe des ventes internationales de Wild Bunch tient le haut du pavé cannois

A un souffle de son record 2006 quand elle assurait les ventes internationales de sept candidats à la Palme d’Or, la société parisienne Wild Bunch se présentera au 66ème Festival de Cannes (qui débute demain) avec six films de son line-up en lice en compétition. A l’exception de l’édition 2005, Wild Bunch a toujours vendu depuis 14 ans au moins un long métrage en course pour le titre suprême cannois : un en 2007, deux en 2004 et 2010, trois en 2000, 2011 et 2012, quatre en 2001, 2002, 2003, 2008 et 2009.

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Les films de la compétition cannoise 2013 que Wild Bunch fera fructifier au Marché du Film sont Jimmy P. (Psychothérapie d’un Indien des plaines) [+lire aussi :
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d’Arnaud Desplechin (photo), La vie d’Adèle – Chapitre 1 & 2 [+lire aussi :
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d’Abdellatif Kechiche (un film que Wild Bunch a aussi produit en délégué), Jeune et jolie [+lire aussi :
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de François Ozon, Only God Forgives [+lire aussi :
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(une coproduction WB - ventes partagées avec Gaumont) du Danois Nicolas Winding Refn, Like Father, Like Son du Japonais Hirokazu Kore-Eda et The Immigrant [+lire aussi :
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de l’Américain James Gray (également coproduit par WB). S’y ajoutent en Sélection OfficielleLes salauds [+lire aussi :
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de Claire Denis (autre production déléguée Wild Bunch) au Certain Regard et Blood Ties [+lire aussi :
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de Guillaume Canet hors compétition.

Dans l’attente des nouveaux projets que Wild Bunch va dévoiler à son rythme sur la Croisette, on peut néanmoins signaler des premières de marché au menu entre autres pour le documentaire Il était une forêt (Once Upon a Forest) de Luc Jacquet, pour The Last Days des Espagnols Alex et David Pastor, Scorpion in Love de leur compatriote Santiago Zannou, La crème de la crème (Smart Ass) de Kim Chapiron, La grande boucle (Tour de force) de Laurent Tuel (avec Clovis Cornillac et Bouli Lanners pour une comédie dans l’ambiance du Tour de France cycliste), Dark Touch de Marina de Van et pour Né quelque part (Homeland) de Mohamed Hamidi  (avec Jamel Debbouze au casting).

Au line-up de l’équipe des ventes internationales (désormais pilotée par Carole Baraton, Vincent Maraval se concentrant sur la production, les acquisitions et le financement) pointent notamment en post-production Open Windows de l’Espagnol Nacho Vigalondo, Dans la cour de Pierre Salvadori, Goodbye To Langage3D de Jean-Luc Godard, la coproduction franco-américaine White Bird in a Blizzard de Gregg Araki, A Nine-Minute Interval du Roumain Corneliu Porumboiu (coproduit par les Français des Films du Worso) et Une promesse (A Promise) de Patrice Leconte.

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