22/01/2016 - L'actrice espagnole jouera l'héroïne de la nouvelle épopée de Gerardo Olivares, dont le tournage va commencer en février dans les décors naturels qu'offre l'Argentine

L'actrice Maribel Verdú

La société espagnole Wanda Visión et la maison argentine Historias Cinematográficas Cinemanía font équipe pour produire El faro de las orcas [+lire aussi :
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fiche film] de Gerardo Olivares, un récit situé des deux côtés de l'Atlantique dont le tournage va commencer en février en Argentine, avec une troupe des deux nationalités comprenant Maribel Verdú, Joaquín Furriel et Gastón Pauls. Le film est l'adaptation (par le réalisateur, Lucía Puenzo et Sallua Sehk) du livre Agustín corazón abierto, où Roberto Bubas évoque la vie réelle d'un enfant autiste espagnol de dix ans fasciné chaque fois que passent à la télévision des images de Beto, l'homme qui jouait avec les  baleines. Pour permettre à son petit Tristan de rencontrer cet éleveur d'orques de la Péninsule Valdés, sa mère Lola va traverser l'océan et aller jusqu'en Patagonie. La vitalité de la nature et le contact avec les cétacés vont faire des miracles pour l'enfant.

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Verdú, récemment primée par un Goya pour son rôle dans Blancanieves [+lire aussi :
critique
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interview : Pablo Berger
fiche film], va donc pour ce film retourner en Argentine, où elle a tourné la comédie à succès Sin hijos [+lire aussi :
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fiche film], aux côtés de l'acteur Diego Peretti. Un de ses autres films récents, La punta del iceberg [+lire aussi :
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fiche film], va de son côté être dévoilé en avril à l'occasion du Festival du cinéma espagnol de Malaga. La comédienne prépare aussi une nouvelle collaboration avec le réalisateur Pablo Berger, qui lui a offert le rôle principal de son prochain projet : la coproduction hispano-française Abracadabra.

Olivares n'est pas moins hyperactif. On se souvient de son succès pour Entrelobos [+lire aussi :
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fiche film], il y a cinq ans. Il prépare à présent le lancement d'Hermanos del viento [+lire aussi :
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making of
fiche film], un film de production autrichienne qu'il a tourné dans les Alpes avec Otmar Penker avec comme acteurs principaux Jean Reno, Manuel Camacho et Tobías Moretti, tout en veillant à la post-production du documentaire 100 días de soledad, un projet co-réalisé avec José Díaz, et également produit par José María Morales à travers Wanda Natura, dont le tournage s'est achevé en décembre. Pour faire ce film, il s'est retiré pendant cent jours (comme le titre l'annonce) dans une cabane, située au beau milieu d'un parc naturel asturien et coupée de toutes les commodités qu'offre le XXIème siècle, pour vivre de manière totalement autosuffisante. 

(Traduit de l'espagnol)