email print share on Facebook share on Twitter share on LinkedIn share on reddit pin on Pinterest

PRODUCTION Bulgarie

Nadejda Koseva réalise Irina, son premier long-métrage

par 

- Partiellement tourné en août, le tournage du projet reprendra en décembre, pendant trois semaines

Nadejda Koseva réalise Irina, son premier long-métrage
Nadejda Koseva (à droite) sur le tournage de Irina.

Nadejda Koseva, connue pour avoir produit Thirst [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Svetla Tsotsorkova
fiche film
]
de Svetla Tsotsorkova (actuellement nominé par l’Académie européenne du cinéma au prix European Discovery), avait commencé la réalisation de Irina [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Martina Apostolova
fiche film
]
, son premier long-métrage en août. L’histoire s’étalant sur deux saisons, la seconde partie du tournage est prévue pour décembre, à Sofia et Pernik, une petite ville minière non loin de la capitale bulgare.

(L'article continue plus bas - Inf. publicitaire)

Le projet a été écrit par Koseva, avec la collaboration de Svetoslav Ovharov (qui avait également participé à l’écriture du scénario de Thirst). Le film raconte l’histoire d’Irina, une jeune femme pauvre qui doit prendre soin de son enfant ainsi que de son mari infirme. Ses improvisations déclenchent une série de mésaventures, la poussant à choisir la solution en apparence parfaite : devenir une mère de substitution pour un couple sans enfant. Les personnages principaux sont interprétés par Martina Apostolova, Irini Jambonas, Hristo Ushev, Aleksandar Kosev et Kasiel Noa Asher.

Irina est produit par Art Fest, la compagnie de production de Stefan Kitanov, en collaboration avec Omega Films d’Ovharov. Kitanov a confié à Cineuropa que le projet devait, à l’origine, être une plus grande coproduction européenne, mais après le financement pour les premiers longs-métrages du Centre national du cinéma bulgare, le film s’est retrouvé dans une plus petite catégorie, avec un budget de 450 000 euros. Kitanov a également ajouté qu’une fois le film terminé, l’équipe pourrait chercher des coproducteurs étrangers.

En outre, elle a expliqué à Cineuropa que son histoire ‘’féminine, mais pas féministe’’ parle de ‘’la redécouverte du monde en donnant la vie’’. L’un des objectifs du film est de mélanger l’histoire, les expériences personnelles des acteurs et l’histoire des lieux où The Deal est tourné pour former un ensemble plus complexe. Elle termine en déclarant que le réel et l’imaginaire sont des éléments essentiels du film, comme le sont la farine et l’eau pour le pain.

(L'article continue plus bas - Inf. publicitaire)

(Traduit de l'anglais)

Vous avez aimé cet article ? Abonnez-vous à notre newsletter et recevez plus d'articles comme celui-ci, directement dans votre boîte mail.

Privacy Policy