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GIJÓN 2017

Le Festival de Gijón prend une nouvelle direction

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- Pour sa 55e édition, l’événement asturien a renouvelé son équipe. Sous la direction d’Alejandro Diaz, il va miser sur le cinéma européen et consolider son volet industrie

Le Festival de Gijón prend une nouvelle direction
En attendant les hirondelles de Karim Moussaoui

À l’approche de la 55e édition du Festival international du film de Gijón, son nouveau directeur, Alejandro Diaz, s’est entretenu avec Cineuropa, soulignant que l’événement asturien va continuer de soutenir le cinéma indépendant et d’auteur, mais que son volet industrie va être renforcé, de même que l’attention portée au cinéma européen, dans toutes les sections (cliquer ici pour consulter tout le programme).

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En compétition officielle, le public pourra découvrir Alive in France [+lire aussi :
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d’Abel Ferrara, En attendant les hirondelles [+lire aussi :
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de Karim Moussaoui (Algérie/France), la production suisse L’Ordre divin [+lire aussi :
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de Petra Volpe, En attendant les barbares [+lire aussi :
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d’Arnaud Desplechin (France), Les sept déserteurs ou la guerre en vrac [+lire aussi :
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du maestro Paul Vecchiali, le récit dystopique autrichien Life Guidance [+lire aussi :
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d’Ana Urushadze (Géorgie/Estonie) et Nobody’s Watching [+lire aussi :
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de Julia Solomonoff (Espagne/Argentine/Colombie/Brésil/États-Unis), qui assurera la clôture du festival.

Les autres films en lice sont le drame argentin El futuro que viene de Constanza Novick (film d’ouverture), Seule sur la plage la nuit du maestro Coréen Hong Sang-soo, Did You Wonder Who Fired the Gun? de l’Américain Travis Wilkerson, Lucky de sa compatriote John Carroll Lynch, avec feu Harry Dean Stanton, et Patti Cake$ de Geremy Jasper.

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(Traduit de l'espagnol)

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