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FESTIVALS France

Cap sur l’Espagne à Toulouse

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Ouverture ce soir de la 10ème édition du festival du cinéma espagnol de Toulouse (Cinespaña) avec la projection de Habana Blues [+lire aussi :
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de Benito Zambrano, un film présenté en clôture de la section Un Certain Regard en mai dernier à Cannes (lire le compte-rendu). Jusqu’au 16 octobre, la manifestation toulousaine qui fait office de tête de pont dans l’Hexagone pour le 7ème art ibérique propose un large tour d’horizon des nouveaux talents. Au menu, une cinquantaine de longs métrages de fiction, documentaires et films expérimentaux, un programme étoffé de courts, un hommage au réalisateur Mario Camus (notamment vainqueur de l’Ours d'Or à Berlin en 1983), une rétrospective des Prix du Public décernés les années précédentes, une sélection de la production cinématographique basque, un cycle thématique Don Quichotte et en clôture un concert de l’actrice Victoria Abril.

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En lice pour la Violette d’Or, 9 longs métrages tenteront de séduire le jury présidé par le cinéaste français Manuel Poirier: 15 dìas contigo de Jesús Ponce, Inconscientes [+lire aussi :
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de Joaquín Oristrell avec Leonor Watling et Luis Tosar, Frìo sol de invierno de Pablo Malo avec Marisa Paredes, Roma d’Adolfo Aristarain, El calentito de Chus Gutiérrez, Para que no me olvides de Patricia Ferreira, Horas de luz de Manolo Matjí, Pasos de Federico Luppi et El lobo de Miguel Courtois avec Eduardo Noriega et Mélanie Doutley qui retrace l’infiltration de l’ETA dans les années 70 par un homme qui se retrouvera pris entre deux feux.
Par ailleurs, un Panorama de 15 courts métrages et 12 longs auquel s’ajoutent une section Voies-Off (7 longs et 13 courts) et un programme de dix documentaires favoriseront la découverte en profondeur d’une cinématographie assez peu distribuée en France. Parmi les titres projetés, il faut signaler Semen [+lire aussi :
critique
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interview : Cesar Benítez
interview : Inés París & Daniela Fejer…
interview : Mariá Arellano - DeaAPlaneta
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d’Inés París (lire le Focus consacré au film), Cámara oscura de Pau Freixas, Heroïna de Herrero Gerardo, Vorvik de José Antonio Vitoria, Cosas que hacen que la vida valga la pena de Manuel Gomez Pereira, Iris de Rosa Vergés i Coma ou encore deux films de Silvia Quer (Febrero et El juego de la verdad).

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