email print share on Facebook share on Twitter share on LinkedIn share on reddit pin on Pinterest

SORTIES Italie

Bolero distribue Fuera de carta de Nacho García Velilla

par 

Après le film américain The Visitor et le titre suédois Let the Right One In, [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : John Nordling
interview : Tomas Alfredson
fiche film
]
Bolero Film lance sur les écrans transalpins à partir de vendredi la production espagnole Fuera de carta [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
, lauréat du prix du public au festival de Malaga 2008 qui a également obtenu un grand succès au box-office ibérique après sa sortie l'année dernière en avril.

(L'article continue plus bas - Inf. publicitaire)

Ce film, décrit par le distributeur comme une comédie "différente" plus déjantée que celles d'Almodóvar, n'a en réalité en commun avec l'incomparable Pedro que ses acteurs, Javier Cámara (Parle avec elle, La mauvaise éducation [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
) et Lola Dueñas (Parle avec elle, Volver [+lire aussi :
critique
bande-annonce
interview : Agustín Almodóvar
interview : Carmen Maura
interview : Pedro Almodóvar
interview : Pénélope Cruz
fiche film
]
). Le réalisateur Nacho García Velilla , qui vient de la télévision (pour laquelle il a écrit et réalisé plusieurs séries télévisées, dont Médico de familia, qui s'est exportée en Italie), s'est surtout préoccupé de maintenir le rythme soutenu du film et d'arracher des rires au public en truffant chacune des 111 minutes du film de plaisanteries sur l'homosexualité loin d'être politiquement correctes.

Le héros du film est Maxi, chef ambitieux, gay déclaré et fier de l'être, qui possède un restaurant dans le quartier de La Chueca à Madrid. Entre gastronomie et équivoques, Maxi devra faire la part des choses entre ses sentiments et devoirs paternels vis-à-vis des deux enfants ressurgis de son passé hétérosexuel et son attirance pour l'ancien footballeur argentin qu'il a arraché aux bras de son employée et meilleure amie Alex.

Le propos du film, derrière ses gags pas toujours désopilants, est d'illustrer l'évolution très rapide de la société espagnole. "De la répression franquiste à la liberté, a souligné le réalisateur lors de la conférence de presse donnée à Rome, la transition a été très rapide, ce qui a semé le trouble. Les parents de Maxi n'acceptent pas son homosexualité, mais de l'autre côté les couples homos voudraient des enfants. Le film réflète ces extrêmes".

(L'article continue plus bas - Inf. publicitaire)

(Traduit de l'italien)

Vous avez aimé cet article ? Abonnez-vous à notre newsletter et recevez plus d'articles comme celui-ci, directement dans votre boîte mail.

Privacy Policy