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PRODUCTION France

Coproductions franco-allemandes en hausse

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Publication mercredi 26 février par le Centre National de la Cinématographie du premier bilan du «mini-traité» de coproduction signé à Cannes en mai 2001 entre la France et l’Allemagne. Au total, fin 2002, douze films ont été aidés, dont six coproductions majoritaires françaises, trois coproductions majoritaires allemandes et trois coproductions à parts égales. Des résultats prometteurs évalués à l’occasion de la réunion de l'Académie franco-allemande du 10 février dernier à Berlin sous la présidence Christina Weiss, ministre adjointe auprès du Chancelier fédéral et déléguée du gouvernement fédéral à la culture et aux médias, et de Jean-Jacques Aillagon, ministre de la Culture et de la Communication.
Avec environ 3 millions d’euros par an consacrés à ces coproductions et un plafond d'aide fixé à 20 pour cent du coût final des films, le système a notamment participé au financement de Tosca de Benoit Jacquot, Deux de Werner Schroeter, 24 heures de la vie d'une femme de Laurent Bouhnik, Vivre me tue de Jean-Pierre Sinapi, La petite prairie aux bouleaux de Marceline Loridan-Ivens, Ne fais pas ça de Luc Bondy et Don't come knockin', de Wim Wenders.

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Au-delà de ces 12 films aidés dans le cadre de l’accord, quatre autres coproductions avec l'Allemagne ont bénéficié en 2002 du soutien automatique en France: Le temps des loups de Michaël Haneke, une coproduction franco-austro-allemande qui a reçu 382 000 euros de l'avance sur recettes, Paradise found de Mario Andreacchio (coproduction majoritaire australienne avec la France, la Grande-Bretagne et l’Allemagne), Jeunes et beaux mais détraqués, d’Igor Sekulic (coproduction majoritaire française avec la Grande-Bretagne et l’Allemagne), etL'étrange affaire de Mister K. de Fabrizio Lori (coproduction majoritaire italienne avec la France et l’Allemagne).

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