João Pedro Rodrigues et João Guerra da Mata en tête du peloton portugais à Locarno
par Vitor Pinto
- Leur film La Dernière fois que j'ai vu Macao est en lice pour le Léopard d'or. Locarno rendra également hommage au Festival du court métrage de Vila do Conde
La Dernière fois que j'ai vu Macao [+lire aussi :
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fiche film] (photo), co-réalisé par João Pedro Rodrigues (Morrer como um homem [+lire aussi :
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Cette nouvelle collaboration entre les deux metteurs en scène après le court métrage China China (présenté à la Semaine de la critique du Festival de Cannes en 2007) a été coproduit par la société portugaise Blackmaria et la maison française Epicentre Films. Contrairement au court métrage fait ensemble, qui malgré son titre asiatique avait été tourné à Lisbonne, La Dernière fois que j'ai vu Macao a amené les deux cinéastes dans l'ancienne colonie portugaise de Macao, où Guerra da Mata a grandi.
Guerra da Mata proposera aussi, dans la section "Léopards de demain", O que arde cura, un court métrage projeté cette année dans le cadre d'IndieLisboa qui dispute le prix à un autre court lusitanien : Zwazo de Gabriel Abrantes, sur trois adolescentes haïtiennes pendant la représentation d'une pièce d'Aristophane.
O dom das lágrimas, de João Nicolau, a été sélectionné dans la section Courts métrages d'auteurs. Ce titre fait partie du projet “Histoires et Visions – Histoires de Guimarães”, compilation de dix films réalisés par différents réalisateurs portugais sur le patrimoine de la ville de Guimarães, Capitale européenne de la culture 2012.
Locarno rendra aussi hommage au Festival du court métrage de Vila do Conde en présentant quatre des titres de sa 20ème édition, qui a eu lieu au mois de juillet : Land of my dreams de Yann González, O canto do Rocha de Helvécio Marins Jr., O milagre de Santo António de Sergei Loznitsa et Reconversão de Thom Andersen, sur l'oeuvre de l'architecte Eduardo Souto de Moura.
Le contingent portugais à Locarno est complété par l'actrice Ana Moreira (Tabu [+lire aussi :
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interview : Miguel Gomes
interview : Miguel Gomes
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