23/11/2012 - Avec un hommage à l’œuvre du philosophe et historien d’art Georges Didi-Huberman, les raisons d’espérer que l’étude va éclairer évoquent successivement : le processus au cœur de l’être humain, les formes et leurs témoignages, et enfin, le monde et ses extériorités favorables.

L’Étude Louvre Alliance pour le Forum d’Avignon

Les raisons d’espérer de l’imagination créative

André Malraux a dit : «Un monde sans espoir est irrespirable». Dans ces temps de crise, le cabinet du Louvre Alliance part à la recherche de ces espoirs. Elles sont sept. Sept raisons d’espérer pour la culture, qui synthétisent des dizaines d’entretiens et rencontres avec des personnalités différentes : intellectuels et artistes, figures publiques, créateurs venant de nombreux domaines culturels, célèbres ou méconnus. La réflexion proposée par le cabinet va bien au-delà d’une simple compilation de déclarations autour du thème de la culture et des défis qu’elle s’apprête à aborder aujourd’hui. L’étude essaie ainsi de saisir, à travers les contributions stimulantes de ses créateurs, une dynamique qui n’a jamais cessé d’imprégner nos sociétés, quels que soient l’histoire et le continent, en dépit du chant des Cassandre qui, plusieurs fois le long des siècles, a continué à prophétiser la mort de l’art e de l’artiste. Avec un hommage à l’œuvre du philosophe et historien d’art Georges Didi-Huberman, les raisons d’espérer que l’étude va éclairer évoquent successivement : le processus au cœur de l’être humain, les formes et leurs témoignages, et enfin, le monde et ses extériorités favorables.

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