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FESTIVALS Portugal

La 11ème édition de Doclisboa commence aujourd'hui

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- Plus de 200 documentaires seront projetés ces dix prochains jours à Lisbonne. Parmi les Portugais au programme : Joaquim Pinto, Gonzalo Tocha et Marco Martins

La 11ème édition de Doclisboa commence aujourd'hui
The Mother and the Sea, de Gonçalo Tocha

La 11ème édition de Doclisboa démarre aujourd'hui. Jusqu'au 3 novembre, l'événement lisboète dédié au documentaire va proposer plus de 200 courts et longs métrages documentaires, dont 42 premiers films, 46 productions locales et 36 titres projetés en avant-première mondiale.

La compétition internationale réservée aux longs métrages comprend des documentaires parmi les plus intéressants de l'année, dont Sangue [+lire aussi :
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de Pippo Delbono (critique du film), Once I Entered a Garden d'Avi Mograbi, Anita de Luca Magi et le titre récompensé à Locarno What Now? Remind Me [+lire aussi :
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, du lusitanien Joaquim Pinto (critique).

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Sont en lice dans la section Longs métrages portugais les derniers travaux de Gonçalo Tocha (The Mother and the Sea), Marco Martins (Twenty-One-Twelve The Day The World Didn’t End), André Valentim Almeida (The Quest of Schooner Creoula), Miguel Moraes Cabral (Jorge’s Paths), Susana Nobre (Active Life), Margaridaz Leitao (Face to Face) et Maria Clara Escobar (The Days With Him).

La section Riscos ("Risques"), dirigée par le sociologue Augusto M. Seabra, présente 20 oeuvres qui explorent la frontière entre documentaire et fiction, tandis que le volet Heart Beat ("Battement de coeur") s'intéresse aux liens entre cinéma, musique et arts plastiques.

Une autre section baptisée Verdes Anos ("Années vertes") est destinée aux films d'étudiants, ce qui fait du festival une plateforme pour présenter les talents émergents aux professionnels établis du secteur audiovisuel.

Le réalisateur français Alain Cavalier fait cette année l'objet d'une rétrospective organisée en partenariat avec le Musée du cinéma.

Cette édition de Doclisboa arrive à un moment où culmine la crise et où n'a jamais autant compté "la lutte pour défendre le cinéma portugais", comme l'ont souligné les organisateurs. On se souviendra aussi de cette édition pour l'absence du président du jury, l'Iranien Mohammad Rasoulof, qui s'est fait confisquer son passeport par les autorités et ne peut plus ressortir de son pays. Son nouveau film, Manuscripts Don’t Burn, sera projeté à la soirée de clôture du festival.

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(Traduit de l'anglais)

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