28/03/2014 - Six documentaires danois sont présentés au plus gros festival nord-américain dédié au documentaire (24 avril-4 mai)

Après le succès remporté dernièrement par plusieurs documentaires danois, à commencer par The Act of Killing [+lire aussi :
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fiche film] du réalisateur originaire des États-Unis Joshua Oppenheimer (qui a été nominé aux Oscars et qui a collecté plus de 20 prix dans les festivals du monde), le festival Hot Docs de Toronto, qui est le plus gros événement nord-américain dédié aux documentaires, a choisi de consacrer cette année sa section “Made in” au Danemark.

“Made in Denmark” propose "le meilleur de la production documentaire du pays", est-il dit. La section comprend six films. Le programme de l'événement canadien, qui a commencé le 24 et va se prolonger jusqu'au 4 mai, propose 191 autres documentaires du monde entier.

“Le Danemark est à la pointe du documentaire de qualité : le pays repousse constamment les limites de cette forme et l'élève en termes de style, de substance et d'approche", a dit la programmatrice Charlotte Cook.

Parmi les films du volet danois, on trouve Ai Weiwei: The Fake Case [+lire aussi :
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fiche film] d'Andreas Johnsen, qui a gagné cette année le Bodil-Prix de la critique danoise du meilleur documentaire. Ce film s'intéresse à l'artiste chinois Ai Weiwei. En liberté surveillée après 81 jours de prison en cellule d'isolement, il parvient encore à provoquer les autorités.

Pine Ridge [+lire aussi :
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fiche film], d'Anna Eborn, décrit la vie dans la réserve indienne de Pine Ridge, dans le Dakota du Sud, là où a eu lieu le massacre de Wounded Knee. A Different Kind of Boy, d'Ulrik Wivel, raconte l'histoire d'Alexander, un jeune autiste de 18 ans qui quitte le domicile parental. The Agreement, de Karen Stokkendal Poulsen, raconte l'opposition des représentants serves et kosovars sur les termes d'un accord de co-existence entre eux.

Four Letters Apart – Children in the Age of ADHD [+lire aussi :
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fiche film], d'Erlend E Mo, raconte la lutte de Victor, Martine et Marino pour contrer leurs troubles de l'attention. Songs for Alexis, d'Elvira Lind, raconte l'histoire d'amour passionnée de deux jeunes garçons, bien que les parents d'Alexis, 16 ans, n'aiment pas son petit ami Ryan, 18 ans.

Beach Boy d'Emil Langballe, présenté dans la section “Love, Factually”, explore la forme de tourisme que pratiquent les dames d'un certain âge qui vont dans des pays du Sud pour se faire courtiser par les jeunes locaux à travers l'histoire de Juma qui est chômage alors que sa petite amie, enceinte, travaille au Qatar, et tente de se faire de l'argent ainsi sur la plage de Mombasa.

(Traduit de l'anglais)