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TBILISSI 2015

Motherland s'illustre à Tbilissi

par 

- Ce film de la Turque Senem Tüzen a remporté le Prométhée d'or. Dans la section géorgienne, le prix est allé à Solomon de Zaza Khalvashi

Motherland s'illustre à Tbilissi
Motherland de Senem Tüzen

La 16ème édition du Festival international de Tbilissi, commencée le 30 novembre, s'est achevée hier sur la remise à la Turque Senem Tüzen du Prométhée d'or pour Motherland [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
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. Le film, qui a fait son avant-première à la Semaine de la critique de la dernière Mostra de Venise, raconte l'histoire d'une citadine de la classe moyenne qui décide d'aller se remettre de son divorce dans la maison de campagne de feu sa grand-mère et d'en profiter pour exaucer son rêve de devenir écrivain, mais doit affronter sa mère, une femme très conservatrice et perturbée qui fait irruption dans cette maison et refuse de s'en aller. 

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Le jury, présidé par la réalisatrice britannique Martha Fiennes, et également composé de la réalisatrice géorgienne Salome Alexi, de Pnina Blayer, directrice artistique du Festival de Haifa, de Peter Scarlet, qui a dirigé les festivals de San Francisco, Tribeca, Abu Dhabi et la Cinémathèque française, et d'Alik Shpilyuk, du Festival d'Odessa, a récompensé du Promethée d'argent du meilleur réalisateur Jonas Carpignano pour le film encensé Mediterranea [+lire aussi :
critique
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interview : Jonas Carpignano
fiche film
]
, qui faisait partie des finalistes au Prix LUX.

Dans la section Panorama géorgien, le jury, qui réunissait l'historien du cinéma et critique Ulrich Gregor, l'organisatrice de festivals et programmatrice Erika Gregor et le journaliste de cinéma Hossein Eidizadeh, a décerné le Prométhée du meilleur film à Solomon de Zaza Khalvashi, sur la vie d'un musicien peu connu mais très talentueux qui essaie de se faire connaître dans une petite ville au bord de la Mer Noire, dans la Géorgie post-soviétique. Le Prométhée du meilleur documentaire est allé à When The Earth Seems To Be Light…, de Salome Machaidze, Tamuna Karumidze et David Meskhi, une oeuvre poétique sur la jeunesse moderne à travers les portraits d'enfants, de skaters, d'artistes et de musiciens, également dans la Géorgie post-soviétique. Le prix du meilleur court-métrage a récompensé Tornike Bziava pour Wake Man.

Pendant la cérémonie, le festival a rendu hommage à deux personnalités pour leur contribution au cinéma mondial en leur remettant des Prométhée d'honneur : le réalisateur arménien Harutyun Khachatryan (The Wind of Emptiness, Return to the Promised Land, Documentarist) ainsi que la réalisatrice et politicienne géorgienne Lana Ghoghoberidze (Day Is Longer Than Night). 

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(Traduit de l'anglais)

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