Le cinéma féminin venu d’Allemagne en force à Madrid
par German Films
- Après le succès rencontré par Maren Ade à Cannes, le 18e Festival du cinéma allemand de Madrid continue à mettre les réalisatrices germaniques à l’honneur
Le Festival du cinéma allemand de Madrid (du 7 au 12 juin) débutera demain avec l’avant-première en Espagne du film Fukushima, mon amour [+lire aussi :
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fiche film] de Doris Dörrie, en collaboration avec le distributeur espagnol Abordar. Mais ce n’est pas tout, puisque plusieurs autres réalisatrices allemandes auront l’occasion de briller lors de cette 18e édition du festival.
Au total, outre les courts-métrages au programme de la sélection annuelle Next Generation, 11 nouveaux longs-métrages sont prévus, dont neuf fictions, un documentaire et un film pour enfants. Un autre long-métrage disposant déjà d’un distributeur espagnol (Vercine) sera également projeté lors du festival, ce qui ne pourra qu’être un atout avant sa sortie en salles, prévue pour le 5 août : il s’agit du film Miss Sixty [+lire aussi :
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fiche film] de Sigrid Hoerner, dont l’équipe (majoritairement féminine) assistera à la projection. L’événement sera en outre l’occasion pour le public madrilène de découvrir Fassbinder [+lire aussi :
critique
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interview : Annekatrin Hendel
fiche film] d’Annekatrin Hendel, Wild [+lire aussi :
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fiche film] de l’actrice et réalisatrice Nicolette Krebitz et The Spiderwebhouse [+lire aussi :
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fiche film] de Mara Eibl-Eibesfeldt, mais aussi Moi et Kaminski [+lire aussi :
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fiche film] de Wolfgang Becker, The Pasta Detectives 2 [+lire aussi :
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fiche film] de Wolfgang Groos, Look Who’s Back [+lire aussi :
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fiche film] de David Wnendt, A Heavy Heart [+lire aussi :
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interview : Thomas Stuber
fiche film] de Thomas Stuber, Sanctuary [+lire aussi :
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interview : Louis Hofmann
fiche film] de Marc Brummund et We Monsters de Sebastian Ko.
Le film Destiny, réalisé en 1921 par Fritz Lang, sera également projeté en collaboration avec Bertelsmann, accompagné par Raphaël Marionneau, l’un des DJ les plus connus d’Europe.
Enfin, le Goethe-Institut de Madrid a préparé une section spéciale composée de quatre films et intitulée La Movida berlinesa, dans laquelle sera notamment présenté le documentaire B-Movie: Lust and Sound in West-Berlin 1979-1989 [+lire aussi :
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fiche film] de Klaus Maeck. Le réalisateur sera lui aussi à Madrid, et il passera même derrière les platines pour jouer des morceaux issus de son film à l’occasion de la soirée des 18 ans du festival, qui aura lieu au Café Berlin.
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