16/10/2023 - Sammy Lechea et Zar Amir Ebrahimi en tête d’affiche du second long du cinéaste révélé avec En attendant les hirondelles. Une production Les Films Pelléas

L'acteur Sammy Lechea (© AgencesArtistiques.com) et l'actrice Zar Amir Ebrahimi (© Fabrizio de Gennaro/Cineuropa)

Premier clap aujourd’hui pour L’effacement (The Vanishing), le second long métrage de l’Algérien Karim Moussaoui après En attendant les hirondelles [+lire aussi :
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interview : Karim Moussaoui
fiche film] (apprécié à Cannes en 2017 à Un Certain Regard, nominé aux Lumières 2018 du premier film et du scénario). Au casting figurent le jeune Sammy Lechea (aperçu dans Le prix du passage [+lire aussi :
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fiche film] et que l’on verra bientôt dans la mini-série Citoyens clandestins), la Franco-iranienne Zar Amir Ebrahimi (prix d’interprétation féminine à Cannes en 2022 pour Les Nuits de Mashhad [+lire aussi :
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interview : Ali Abbasi
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interview : Zar Amir Ebrahimi
fiche film], appréciée cette année à Venise dans Tatami [+lire aussi :
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fiche film] et à l’affiche l’an prochain dans la production italo-israélienne Reading Lolita In Tehran), Hamid Amirouche, Idir Chender, Nadia Kaci et Nassima Benchicou.

Adaptation par Karim Moussaoui et Maud Ameline (déjà complice d’écriture du premier long du réalisateur et nominée au César 2013 du meilleur scénario pour Camille redouble [+lire aussi :
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fiche film]) du roman éponyme de Samir Toumi, le scénario est centré sur Réda qui vit chez ses parents dans un quartier bourgeois d'Alger, et occupe un poste dans la plus grande entreprise d’hydrocarbures du pays que dirige son père, Youcef, un homme charismatique et autoritaire. Mais sous ce vernis de réussite apparent, Réda dissimule un mal-être profond : il vit dans l’ombre de son père et ne sait pas lui dire non. Son frère Fayçal mène au contraire une rébellion ouverte contre Youcef, et finit par quitter définitivement le domicile familial, laissant Réda face à sa solitude et sa frustration. Un jour le père meurt et un événement inattendu se produit : le reflet de Réda disparaît du miroir…

Produit par David Thion et Philippe Martin pour Les Films Pelléas, L’effacement est coproduit par Arte France Cinéma, les Allemands de NiKo Film et les Tunisiens de Nomadis Images. Préacheté par Arte et Ciné+, le long métrage bénéficie également du soutien du CNC et du FFA via le mini-traité de coproduction franco-allemande, du Grand Accord Arte-ZDF, de la région Sud (Provence-Alpes-Côte d’Azur), du Medienboard Berlin-Brandenburg, du MOIN Filmförderung Hamburg Schleswig-Holstein, du nordmedia-Film-und Mediengesellschaft, du Red Sea Fund, des Sofica Indéfilms et Cinémage et du Media Slate Funding. Les 35 jours de tournage e dérouleront jusqu’au 16 décembre à Marseille et en Tunisie avec Kristy Baboul (De l’or pour les chiens [+lire aussi :
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fiche film], L’air de la mer rend libre) à la direction de la photographie. La distribution France sera assurée par Ad Vitam.

Pour mémoire, Les Films Pelléas comptent actuellement en tournage Marcello Mio [+lire aussi :
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fiche film] de Christophe Honoré et Les Inséparables de Sophie Bailly (article), sont sur le point de démarrer Une part manquante de Guillaume Senez, et brillent dans les salles du monde avec la Palme d’or Anatomie d’une chute [+lire aussi :
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fiche film] de Justine Triet qui sort aujourd’hui aux Etats-Unis et se rapproche des 1,2 million d’entrées dans les salles françaises.