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CANNES 2019

Favoris et outsiders entrent dans la ligne droite vers Cannes

par 

- Tour d’horizon des principaux films prétendants à une place dans la vitrine du 72e Festival de Cannes (du 14 au 25 mai 2019)

Favoris et outsiders entrent dans la ligne droite vers Cannes
Abdellatif Kechiche, Céline Sciamma, Pedro Almodóvar, Marco Bellocchio, Jessica Hausner, Roy Andersson, Ulrich Seidl, Agnes Kocsis et Corneliu Porumboiu

Que nous réserve cette année le sélectionneur cannois Thierry Frémaux, qui avait pris à contrepied les pronostics l’an passé en privilégiant le renouvellement ? Alors que la 69e Berlinale délivrera son palmarès samedi 16 février, le 72e Festival de Cannes (du 14 au 25 mai 2019) est désormais dans le viseur de tous les protagonistes et suiveurs de l’industrie cinématographique mondiale et les listes des possibles et des probables prolifèrent dans l’habituelle et toujours excitante ambiance de boule de cristal (avec mention spéciale aux prospecteurs Nicholas Bell et Eric Lavallée de Ioncinema) qui précède l’événement. Une vaste revue d’effectif sur le papier à prendre évidemment avec des pincettes, mais qui recèle un nombre très conséquent de films très attendus.

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En première ligne des prétendants pointent plusieurs films signés par cinéastes déjà vainqueurs d’une (ou de deux) Palmes d’Or : Le Jeune Ahmed [+lire aussi :
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interview : Jean-Pierre et Luc Dardenne
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des Belges Jean-Pierre and Luc Dardenne, Sorry We Missed You [+lire aussi :
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Q&A : Ken Loach
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de l’Anglais Ken Loach, le film français La Vérité [+lire aussi :
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interview : Hirokazu Kore-eda
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du Japonais Hirokazu Kore-eda, Once Upon A Time in Hollywood de l’Américain Quentin Tarantino et deux longs métrages nettement plus mystérieux quant à leur état d’avancement avec Mektoub My Love : Intermezzo [+lire aussi :
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du Français Abdellatif Kechiche et Une Vie cachée [+lire aussi :
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de l’Américain Terrence Malick.

Au rayon des autres réalisateurs déjà passés par la compétition sur la Croisette se distinguent Douleur et Gloire [+lire aussi :
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interview : Antonio Banderas
Q&A : Pedro Almodóvar
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de l’Espagnol Pedro Almodovar, Roubaix, une lumière [+lire aussi :
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interview : Arnaud Desplechin
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 du Français Arnaud Desplechin et Jeanne [+lire aussi :
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interview : Bruno Dumont
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de son compatriote Bruno Dumont, Le Traître [+lire aussi :
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Q&A : Marco Bellocchio
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de l’Italien Marco Bellocchio, About Endlessness [+lire aussi :
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interview : Roy Andersson
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du Suédois Roy Andersson, Le Manoir [+lire aussi :
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interview : Cristi Puiu
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 du Roumain Cristi Puiu, Wicked Games de l’Autrichien Ulrich Seidl, Parasite du Coréen Bong Joon-ho, le trio américain The Dead Don’t Die [+lire aussi :
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de Jim Jarmusch, Ad Astra de James Gray (si les effets spéciaux sont terminés à temps) et Uncut Gems de Josh et Benny Safdie, Matthias et Maxime du Canadien Xavier Dolan et Guest of Honour de son compatriote Atom Egoyan, It Must Be Heaven [+lire aussi :
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interview : Elia Suleiman
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du Palestinien Elia Suleiman, To the Ends of the Earth du Japonais Kiyoshi Kurosawa, les titres chinois Saturday Fiction de son compatriote Chinois Lou Ye et One Second du Chinois Zhang Yimou (s’ils passent les fourches caudines de la censure dans leur pays), voire Bacurau [+lire aussi :
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interview : Kleber Mendonça Filho, Jul…
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du duo brésilien Kleber Mendonça Filho - Juliano Dornelles (que la rumeur annonce néanmoins comme un film un peu trop marqué par le genre pour s’ajuster facilement à la quête de la Palme d’Or) ou encore et True History of the Kelly Gang [+lire aussi :
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de l’Australien Justin Kurzel. A noter qu’une incertitude plane sur le timing de Zombi Child [+lire aussi :
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interview : Bertrand Bonello
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du Français Bertrand Bonello qui serait candidat à une sélection selon certains alors que d’autres pensent que le tournage ne sera pas complètement terminé au printemps.

Parmi les plus sérieux postulants à une première incursion en compétition, on peut notamment mentionner Portrait de la jeune fille en feu [+lire aussi :
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interview : Céline Sciamma
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 de la Française Céline Sciamma, Ema du Chilien Pablo LarrainLes Siffleurs [+lire aussi :
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interview : Corneliu Porumboiu
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du Roumain Corneliu Porumboiu, Little Joe [+lire aussi :
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interview : Jessica Hausner
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de l’Autrichienne Jessica Hausner, Wet Season du Singapourien Anthony Chen, The Wild Goose Lake du Chinois Diao Yi’nan (lui aussi prétendument un peu trop de genre pour l’atmosphère de la compétition, mais son Ours d’Or berlinois 2014 Black Coal l’était tout autant, donc…), All Inclusive de la Polonaise Malgorzata Szumowska, The Beanpole [+lire aussi :
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du jeune prodige russe Kantemir Balagov, et les trois titres de cinéastes américains : First Cow de Kelly Reichardt, Wendy de Benh Zeitlin et Frankie [+lire aussi :
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interview : Ira Sachs
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d’Ira Sachs.

La production européenne ne manque pas d’autres talents divers prêts à un voyage sur la Croisette avec par exemple Eden [+lire aussi :
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de la Hongroise Agnes Kocsis, Aquilo que arde (A Sun That Never Sets) de l’Espagnol Olivier Laxe et Madre (Mother) de son compatriote Rodrigo Sorogoyen, les titres islandais Echo de Runar Runarsson et Mjólk, La Guerre du lait [+lire aussi :
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interview : Grímur Hákonarson
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de Grímur Hákonarson, Servants [+lire aussi :
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interview : Ivan Ostrochovský
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du Slovaque Ivan Ostrochovský, Pelican Blood [+lire aussi :
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interview : Katrin Gebbe
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de l’Allemande Katrin Gebbe, Suicide Tourist [+lire aussi :
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interview : Jonas Alexander Arnby
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du Danois Jonas Alexander Arnby, 438 Days du Suédois Jesper Ganslandt, Martin Eden [+lire aussi :
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interview : Pietro Marcello
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de l’Italien Pietro Marcello, Technoboss [+lire aussi :
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interview : João Nicolau
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du Portugais João Nicolau, Heidi [+lire aussi :
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interview : Cătălin Mitulescu
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du Roumain Catalin Mitulescu, Adoration [+lire aussi :
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interview : Fabrice du Welz
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du Belge Fabrice du Welz et Filles de joie [+lire aussi :
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interview : Anne Paulicevich et Frédér…
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de son compatriote Frédéric Fonteyne. A signaler également l’énigmatique Ondine [+lire aussi :
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interview : Christian Petzold
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de l’Allemand Christian Petzold, surgi du néant dans les pronostics et dont on ne sait pas du tout à quel point il en est dans son processus de production.

On ne peut pas non plus ignorer Mientras dure la guerra [+lire aussi :
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interview : Alejandro Amenabar
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 de l’Espagnol Alejandro Amenabar, Seberg [+lire aussi :
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de l’Australien Benedict Andrews, The Lighthouse de l’Américain Robert Eggers,le documentaire La Cordillère des songes [+lire aussi :
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 du Chilien Patricio Guzmán, Haut et Fort [+lire aussi :
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du Marocain Nabil Ayouch, Yalda, la nuit du pardon [+lire aussi :
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interview : Massoud Bakhshi
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de l’Iranien Massoud Bakhshi, Notre-Dame du Nil [+lire aussi :
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 de l’Afghan Atiq Rahimi, A Girl Missing [+lire aussi :
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du Japonais Koji Fukada, Luz de la Chinoise Flora Lau, voire Blue Train de son compatriote Dalei Zhang, Waves de l’Américain Trey Edward Shults, The Orphanage [+lire aussi :
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interview : Shahrbanoo Sadat
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de l’Afghane Shahrbanoo Sadat, Litigante [+lire aussi :
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du Colombien Franco Lolli ou encore Persian Lessons [+lire aussi :
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interview : Leonie Benesch
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du russo-américain Vadim Perelman.

Du côté français, au-delà des noms déjà cités, sont très bien installés dans les starting-blocks Une fille facile [+lire aussi :
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interview : Rebecca Zlotowski
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de Rebecca Zlotowski, Proxima [+lire aussi :
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interview : Alice Winocour
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d’Alice Winocour, Sibyl [+lire aussi :
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interview : Justine Triet
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de Justine Triet, Fête de famille [+lire aussi :
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de Cédric Kahn, Thalasso [+lire aussi :
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 de Guillaume Nicloux et Gloria Mundi [+lire aussi :
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interview : Robert Guédiguian
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de Robert Guédiguian.

Se distinguent également pour la production hexagonale, Chanson douce [+lire aussi :
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de Lucie Borleteau, Tijuana Bible [+lire aussi :
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interview : Jean-Charles Hue
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de Jean-Charles Hue, De nos frères blessés [+lire aussi :
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 de Hélier Cisterne, The Room [+lire aussi :
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interview : Christian Volckman
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de Christian VolckmanMon initiation chez les chamanes de Fabienne Berthaud, Terminal Sud [+lire aussi :
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de Rabah Ameur-Zaïmeche, L’État sauvage [+lire aussi :
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de David Perrault, La Fille au bracelet [+lire aussi :
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interview : Stéphane Demoustier
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de Stéphane Demoustier, Camille [+lire aussi :
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interview : Boris Lojkine
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de Boris Lojkine, Le Daim [+lire aussi :
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interview : Quentin Dupieux
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de Quentin Dupieux, Les Traducteurs [+lire aussi :
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interview : Régis Roinsard
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 de Régis Roinsard, sans oublier très certainement un hommage avec Les Plus belles années d'une vie [+lire aussi :
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interview : Claude Lelouch
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de Claude Lelouch

Au rayon toujours très disputé des premiers longs français s’avancent Atlantique [+lire aussi :
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interview : Mati Diop
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 de Mati Diop, Mignonnes [+lire aussi :
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interview : Maïmouna Doucouré
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 de Maïmouna Doucouré, Jumbo [+lire aussi :
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interview : Zoé Wittock
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de Zoé Wittock, Revenir [+lire aussi :
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de Jessica Palud, Les Éblouis [+lire aussi :
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de Sarah Suco, Les Héros ne meurent jamais d’Aude Rapin, Mes jours de gloire [+lire aussi :
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interview : Antoine de Bary
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d’Antoine de Bary, Les Misérables [+lire aussi :
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interview : Ladj Ly
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de Ladj Ly et Qu’un sang impur… [+lire aussi :
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d’Abdel Raouf Dafri.

A signaler aussi les films d’animation La Fameuse Invasion des ours en Sicile [+lire aussi :
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interview : Lorenzo Mattotti
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de l’Italien Lorenzo Mattotti et Les Hirondelles de Kaboul [+lire aussi :
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interview : Zabou Breitman et Eléa Gob…
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des Françaises Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec, alors que les séances de minuit pourraient convenir entre autres à Midsommarde l’Américain Ari Aster et Muscle [+lire aussi :
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interview : Gerard Johnson
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de l’Anglais Gerard Johnson.

Enfin, parmi les premiers longs internationaux qui se bousculent au portillon cannois, on peut mentionner notamment Les Particules [+lire aussi :
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interview : Blaise Harrison
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du Suisse Blaise Harrison, Un divan à Tunis [+lire aussi :
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interview : Manele Labidi
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de la Tunisienne Manèle Labidi, Sole [+lire aussi :
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interview : Carlo Sironi
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de l’Italien Carlos Sironi, Paradise Drifters [+lire aussi :
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interview : Bilal Wahib
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du Néerlandais Mees Peijnenburg, The Wind Blew On de l’Islandaise Katrin Olfasdottir, L'Envolée [+lire aussi :
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de l'Ecossaise Eva Riley et Cancion sin nombre [+lire aussi :
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 de la Péruvienne Melina León.

Reste évidemment en suspens la question épineuse de la présence des films Netflix à Cannes, même si le rêve de découvrir The Irishman de Martin Scorsese sur la Croisette serait peu probable pour des questions de délais de post-production, mais qui sait…

Tous ces très alléchantes questions sur l’affiche cannoise 2019 devraient obtenir des réponses lors des annonces des différentes sélections qui (sous réserve de confirmations officielles) pourraient avoir lieu le 18 avril pour l’Officielle, le 19 ou le 22 avril pour la Semaine de la Critique et le 23 avril pour la Quinzaine des Réalisateurs.

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