Avant-premières européennes
Feu d’artifice de films inédits et d’avant-premières à l’occasion des journées consacrées au cinéma européen par la ville allemande d’Augsburg. Les trois cinémas, le Mephisto, le Thalia et le Savoy, ont programmé une spectaculaire sélection de longs-métrages composée de succès présentés dans les plus grands festivals, certains n’étant pas encore sortis en salles.
L'événement le plus attendu est sans aucun doute l’avant-première allemande de Dogville [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film] de Lars von Trier, mais il sera également possible de voir Swimming pool [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film] de François Ozon et The mother di Roger Mitchell, trois films présentés en mai dernier au Festival de Cannes. Autre moment-phrare: la projection de My life without me [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film], la coproduction hispano-canadienne réalisée par Isabel Coixet qui a rencontré les faveurs du public lors du Festival de Berlin en février dernier.
Du côté de la production allemande, le programme se révèle particulièrement dense avec en première ligne Rosenstraße [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film] de Margarethe von Trotta (meilleure interprétation féminine à la dernière Mostra de Venis), Good-bye, Lenin [+lire aussi :
bande-annonce
interview : Wolfgang Becker
fiche film] de Wolfgang Becker (meilleur film européen à la Berlinale 2003 et succès en saalles partout sur le Vieux Continent), le dessin animé Till l’Espiègle d’Eberhard Junkersdorf et Liegen lernen de Hendrik Handloegten (deux films qui viennent de sortir dans les salles allemandes), ou encore le documentaire Mein kleines Kind de Katjia Baumgarten (présenté à la Berlinale 2002 dans la section "Perspektiv deutsches Kino").
Parmi les autres oeuvres européennes choisies par les organisateurs, L’homme de la Riviera [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film] (2001) de Neil Jordan, Wilbur wants to kill himself [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film] (2002) de Lone Schefig, Stille liebe (2001) du Suisse Christoph Schaub, Hic du Hongrois György Pálfi (in compétition aux festivals de Turin 2002 et de Paris 2003), sans oublier le film –scandale de Cannes 2002 Irreversible de Gaspar Noé.
(Traduit de l'italien)
Vous avez aimé cet article ? Abonnez-vous à notre newsletter et recevez plus d'articles comme celui-ci, directement dans votre boîte mail.
