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FESTIVALS / PRIX Suisse

Le Black Movie dévoile la programmation de sa 24e édition

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- La nouvelle édition du rendez-vous se penche avec courage et détermination sur l’actualité d’un monde toujours plus complexe et anxiogène

Le Black Movie dévoile la programmation de sa 24e édition
Where Is This Street? or With No Before or After de João Pedro Rodrigues et João Rui Guerra da Mata

La nouvelle édition du Festival International de Films Indépendants Black Movie, qui se déroulera à Genève du 20 au 29 janvier, proposera à un public de fidèles une série de productions passionnantes en provenance de plus de 50 pays. Une explosion scintillante de 91 films indépendants composée de 51 longs métrages et 40 courts métrages, parmi lesquels on retrouve 54 premières suisses. Comme souligné par Maria Watzlawick, directrice artistique du festival : "Les réalisateurs et réalisatrices l’ont bien compris, ces folles et fous des rois. Osant dépendre sans filtres ni bien-pensance le monde tel que leur sensibilité d’artistes le perçoit, les cinéastes nous donnent à voir de multiples facettes de ce kaléidoscope à la fois magnifique et inquiétant qu’est notre planète".

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Le Black Movie propose comme chaque année de répartir cette passionnante sélection en sections thématique : À suivre… (un best of des cinéastes indépendants adulés par le festival), Vivre ! (qui raconte la jeunesse dans un monde toujours plus complexe et angoissant), Déchaînées (une ode contre le patriarcat), Ofnis (qui propose huit œuvres qui traversent et éclatent le concept de genre), Memento Mori (une réflexion sur le rapport à la mort), Pegan East (qui met en scène des films folkloriques en provenance d’Europe centrale et d’Europe de l’Est), Spasmes (qui convie à trois rendez-vous nocturnes) et Petit Black Movie.

Les festivaliers retrouveront des noms familiers tels que, pour ne citer que les européens, les portugais João Pedro Rodrigues et João Rui Guerra da Mata (qui, en plus d’une masterclass très attendue le 23 janvier, présenteront deux films, Where Is This Street? or With No Before or After [+lire aussi :
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qui rend hommage avec respect et élégance à Os verdes anos (1963), chef d’œuvre de Paulo Rocha, et Feu follet [+lire aussi :
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interview : João Pedro Rodrigues
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), l’espagnol Eduardo Casanova (La piedad [+lire aussi :
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) et l’ukrainien Antonio Lukich (Luxembourg, Luxembourg [+lire aussi :
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interview : Antonio Lukich
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).

Un accent particulier sera mis sur les cinéastes iranien.ne.s, avec notamment la projection des films How Dare You Have Such a Rubbish Wish de Mania Akbari, The House of Forgetfulness de Farhad Ghodsi et Sahand Sarhaddi et Alone de Jafar Najafi.

Outre celles déjà citées, la programmation accueille de nombreuses productions et coproductions européennes parmi lesquelles sont le portrait touchant de personnes transgenre Anhell69 [+lire aussi :
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de Theo Montoya, les thrillers contemporains Blanquita [+lire aussi :
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de Fernando Guzzoni et To the North [+lire aussi :
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de Mihai Mincan, le road trip africain No U-Turn [+lire aussi :
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d’Ike Nnaebue, la fable surréaliste Have You Seen This Woman? [+lire aussi :
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de Matija Gluščević et Dušan Zorić et la love story atypique My Love Affair With Marriage [+lire aussi :
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de Signe Baumane, ou encore Le fleuve n’est pas une frontière [+lire aussi :
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d’Alassane Diago, Pornomelancolía [+lire aussi :
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de Manuel Abramovich, Aya [+lire aussi :
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de Simon Coulibaly Gillard, Bread and Salt [+lire aussi :
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de Damian Kocur, How To Save a Dead Friend [+lire aussi :
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de Marusya Syroechkovskaya, I am Chance [+lire aussi :
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de Marc-Henri Wajnberg, Sous les figues [+lire aussi :
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d’Erige Sehiri, Nous, étudiants ! [+lire aussi :
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de Rafiki Fariala et Les damnés ne pleurent pas [+lire aussi :
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de Fyzal Boulifa, entre autres.

Le Black Movie gardera cette année une offre de films en ligne (pour le public suisse) active du 24 au 29 janvier.

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