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FESTIVALS / PRIX France

Le cinéma indépendant en vitrine à Bordeaux

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- Des compétition et des rétrospectives et Focus pour Monia Chokri, Joachim Lafosse et Dominique Marchais au menu de la 12e édition du festival bordelais qui déroulera du 18 au 23 octobre

Le cinéma indépendant en vitrine à Bordeaux
Simple comme Sylvain de Monia Chokri

Après sa première mondiale à Toronto, Avant que les flammes ne s’éteignent [+lire aussi :
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de Mehdi Fikri ouvrira demain la 12e édition du Festival International du Film Indépendant de Bordeaux. Cette année, l’événement piloté par Natacha Seweryn mettra à l’honneur la cinéaste québécoise Monia Chokri (rétrospective, masterclass et notamment Simple comme Sylvain [+lire aussi :
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interview : Monia Chokri
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en clôture du festival), le Belge Joachim Lafosse à travers un Focus (incluant entre autres Un silence [+lire aussi :
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interview : Joachim Lafosse
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et un dialogue avec Pierre Salvadori) et le documentariste français Dominique Marchais (rétrospective dont son dernier opus, La Rivière), le tout sans oublier de nombreuses cartes blanches comme celle dédiée à la société de production Kidam.

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Dans la compétition internationale des longs métrages, le jury composé de l’actrice Camélia Jordana et de trois cinéastes (le Roumain Corneliu Porumboiu et les Français Lola Quivoron et Thomas Cailley) devra départager neuf titres : The Hypnosis [+lire aussi :
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interview : Asta Kamma August
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du Suédois Ernst de Geer (prix du meilleur acteur et label Europa Cinemas à Karlovy-Vary), Milk [+lire aussi :
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interview : Stefanie Kolk
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de la Néerlandaise Stefanie Kolk (découvert aux Giornate degli Autori), La Vénus d’argent [+lire aussi :
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interview : Héléna Klotz
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de la Française Héléna Klotz (compétition Platform à Toronto), Le Vourdalak [+lire aussi :
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de son compatriote Adrien Beau (Semaine de la Critique à Venise), Toll [+lire aussi :
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de la Brésilienne Carolina Markowicz (apprécié à Toronto) et quatre documentaires : Maman déchire [+lire aussi :
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de la Française Émilie Brisavoine(découvert à Karlovy-Vary), Samsara [+lire aussi :
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de l’Espagnol Lois Patiño (prix spécial du jury Encounters à Berlin), Mon pire ennemi [+lire aussi :
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de l’Iranien Mehran Tamadon (également dévoilé à Encounters) et Nome [+lire aussi :
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du Bissau-guinéen Sana Na N’Hada (passé par l’ACID Cannes).

Ouverte à tous les formats et réservée aux films fabriqués en dehors des schémas classiques de financement, la compétition Contrebande mettra aussi aux prises neuf titres dont deux long métrages français : After [+lire aussi :
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interview : Anthony Lapia
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d’Anthony Lapia (découvert au Panorama de la Berlinale) et Personne n’a rien vu de Clothilde Leclercq. À signaler également au programme du festival, une compétition de courts métrages, des avant-premières pour La Bête [+lire aussi :
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interview : Bertrand Bonello
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de Bertrand Bonello, La chimère [+lire aussi :
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de l’Italienne Alice Rohrwacher et La fille de son père [+lire aussi :
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interview : Erwan Le Duc
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d’Erwan Le Duc, et une riche sélection de documentaires : Madame Hofmann de Sébastien Lifshitz, Orlando, ma biographie politique [+lire aussi :
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de l’Espagnol Paul B. Preciado, la coproduction franco-colombienne Nuestra Película de Diana Bustamante, Ici Brazza d’Antoine Boutet, État limite [+lire aussi :
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de Nicolas Peduzzi et Little Girl Blue [+lire aussi :
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interview : Mona Achache
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de Mona Achache.

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