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PRODUCTION / FINANCEMENT France

Ça tourne pour Maria de Jessica Palud

par 

- Anamaria Vartolomei, Matt Dillon et Yvan Attal au casting du second long de la cinéaste, piloté par Fin Août Productions et vendu par Orange Studio

Ça tourne pour Maria de Jessica Palud
L'actrice Anamaria Vartolomei (© DeuxPlusQuatre) et les acteurs Matt Dillon (© Georges Biard) et Yvan Attal (© La Biennale di Venezia Foto ASAC/G. Zucchiatti)

Lundi dernier a débuté le tournage de Maria, le second long métrage de Jessica Palud après Revenir [+lire aussi :
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(meilleur scénario Orizzonti à Venise en 2019). En tête d’affiche du casting figurent la Franco-roumaine Anamaria Vartolomei (prix Lumière de la meilleure actrice et César du meilleur espoir féminin en 2022 pour L’Événement [+lire aussi :
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interview : Anamaria Vartolomei
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, Shooting Star de l’European Film Promotion la même année) dans le rôle de l’actrice Maria Schneider, le célèbre Américain Matt Dillon (entre autres nominé à l’Oscar 2006 du meilleur second rôle, apprécié récemment notamment dans The House That Jack Built [+lire aussi :
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et dans Proxima, et que l’on vient de voir à Cannes dans Asteroid City) qui incarnera Marlon Brando, et Yvan Attal (nominé au César 2010 du meilleur acteur, apprécié cette année dans La Syndicaliste [+lire aussi :
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et dans la mini-série Bardot [+lire aussi :
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).

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Sont aussi de la partie Marie Gillain (nominée aux César 1998 et 2012 de la meilleure actrice, encore en salles françaises dans Quand tu seras grand [+lire aussi :
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), Céleste Brunnquell (nominée au César du meilleur espoir et au Lumière de la révélation en 2020 pour Les éblouis [+lire aussi :
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, à l’affiche le 14 juin dans Fifi [+lire aussi :
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, à son avantage la semaine dernière à Cannes dans La fille de son père [+lire aussi :
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et que l’on verra bientôt dans En attendant la nuit) et Stanislas Merhar (César 1998 du meilleur espoir, aperçu aussi tout récemment sur la Croisette dans Bonnard, Pierre et Marthe [+lire aussi :
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).

Adaptation par Jessica Palud et Laurette Polmanss (nominée au Lumière 2016 du meilleur scénario pour La Belle saison [+lire aussi :
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, au César 2019 de la meilleure adaptation pour Un amour impossible [+lire aussi :
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et à celui du meilleur scénario original en 2022 pour La Fracture [+lire aussi :
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) du  roman Tu t’appelais Maria Schneider de Vanessa Schneider, le scénario plonge en 1969. Maria est libre et sauvage. D’une beauté à couper le souffle. Elle n’est plus une enfant, pas encore une adulte, quand elle enflamme la pellicule du film d’un jeune et prometteur réalisateur italien, un huis clos de sexe et de violence, aux côtés d’une star américaine. Elle devient célèbre. Elle n’était préparée à rien, ni à la gloire ni au scandale…

Produit par Marielle Duigou pour Fin Août Productions (déjà partenaire du premier long de la réalisatrice), Maria est coproduit par Orange Studio qui pilote aussi les ventes internationales. Préacheté par OCS et Ciné+, le long métrage bénéficie également du soutien de la région Bretagne et de la Sofica Cofimage. Le tournage qui a démarré à Paris se poursuivra en Bretagne avec Sébastien Buchmann (nominé au Lumière 2023 de l’image pour Les passagers de la nuit [+lire aussi :
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interview : Mikhaël Hers
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) à la direction de la photographie. La distribution dans les salles française sera pilotée par Haut et Court.

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