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PRODUCTION / FINANCEMENT France / Belgique

Dernière ligne droite pour le tournage de La venue de l’avenir de Cédric Klapisch

par 

- Suzanne Lindon, Abraham Wapler, Julia Piaton, Vincent Macaigne et Zinedine Soualem en tête d’affiche d’une production Ce Qui Me Meut vendue par StudioCanal

Dernière ligne droite pour le tournage de La venue de l’avenir de Cédric Klapisch
L'actrice Suzanne Lindon (© R088MAN), l'acteur Abraham Wapler (© AgencesArtistiques.com), l'actrice Julia Piaton (© AgencesArtistiques.com) et l'acteur Vincent Macaigne (© AgencesArtistiques.com)

Démarré le 15 avril, le tournage de La venue de l’avenir de Cédric Klapisch se terminera le 24 juin. Il s’agit du 15e long métrage de fiction cinématographique du cinéaste révélé avec Riens du tout (nommé au César 1993 de meilleur premier film), apprécié notamment avec Le péril jeune, Chacun cherche son chat, Un air de famille, L'auberge espagnole et En corps [+lire aussi :
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(neuf nominations au César 2023 et 1,4 million d’entrées France) et qui s’est aussi distingué du côté des séries avec Dix pour cent et Salade grecque [+lire aussi :
interview : Cédric Klapisch
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.

En tête d’affiche de son nouvel opus figurent Suzanne Lindon (Seize printemps [+lire aussi :
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), Abraham Wapler (les séries Lycée Toulouse-Lautrec et Caro Nostra), Julia Piaton (nommée au César 2021 du meilleur espoir pour Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait [+lire aussi :
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et que l’on verra bientôt dans Les Règles de l’art), Vincent Macaigne (en salles le 19 juin dans Hors du temps [+lire aussi :
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et bientôt dans Une chose et son contraire, Celui qui soigne – Muganga et L’affaire de l’esclave Furcy) et Zinedine Soualem (fidèle complice du réalisateur et remarqué récemment L’air de la mer rend libre et L’enfant du paradis [+lire aussi :
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).

Sont également de la partie Paul Kircher (nommé au César 2023 et 2024 de la révélation pour Le Lycéen [+lire aussi :
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– qui lui a valu aussi un prix d’interprétation à San Sebastián - et Le Règne animal [+lire aussi :
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, en salles le 4 décembre prochain dans Leurs enfants après eux), Vassili Schneider (à son avantage dans Les Amandiers [+lire aussi :
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et Le Vourdalak [+lire aussi :
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, en salles le 28 juin dans Le Comte de Monte Cristo [+lire aussi :
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), Sara Giraudeau (César 2018 du meilleur second rôle pour Petit paysan [+lire aussi :
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, mondialement célèbre pour la série Le Bureau des Légendes [+lire aussi :
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, appréciée récemment à Cannes dans Le roman de Jim [+lire aussi :
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) et la Belge Cécile de France (appréciée récemment dans Bonnard, Pierre et Marthe [+lire aussi :
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, prochainement en salles dans Une fille sans histoire et Dans l’eau).

Écrit par Cédric Klapisch et Santiago Amigorena (nommés tous les deux au César 2023 du meilleur scénario original pour En corps), le scénario a pour cadre le Paris haussmannien de la fin du XIXe siècle et l’époque contemporaine. Aujourd’hui, en 2024, une trentaine de personnes issues d’une même famille apprennent qu’ils vont recevoir en héritage une maison abandonnée depuis des années. Quatre d'entre eux, Seb, Abdel, Céline et Guy sont chargés d’en faire l'état des lieux. Ces lointains "cousins" vont alors découvrir des trésors cachés dans cette vieille maison. Ils vont se retrouver sur les traces d'une mystérieuse Adèle qui a quitté sa Normandie natale, à 20 ans. Cette Adèle se retrouve à Paris en 1895, au moment où cette ville est en pleine révolution industrielle et culturelle. Pour les quatre cousins, ce voyage introspectif dans leur généalogie va leur faire découvrir ce moment si particulier de la fin du XIXe siècle où la photographie s'inventait et l’impressionnisme naissait. Ce face à face entre les deux époques 2024 et 1895 remettra en question leur présent et leurs idéaux et racontera le sens de : La venue de l’avenir.

La venue de l’avenir a été produit par Bruno Lévy et Cédric Klapisch pour Ce Qui Me Meut Motion Pictures et coproduit par France 2 Cinéma, StudioCanal et les sociétés belges La Compagnie Cinématographique et Panache Productions. Préacheté par Canal+ et Ciné+, le long métrage bénéficie également du soutien des régions Normandie et Ile-de-France où se déroule le tournage avec Alexis Kavyrchine (César 2021 de sa spécialité pour Adieu les cons [+lire aussi :
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, nommé en 2019 pour La Douleur [+lire aussi :
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et en 2023 pour En corps) à la direction de la photographie. StudioCanal pilote les ventes internationales et assurera la distribution dans les salles françaises.

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