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BRIFF 2024

Forte présence de réalisatrices au programme du 7e Brussels International Film Festival

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- La nouvelle édition du festival se tiendra du 25 juin au 3 juillet prochains avec une quarantaine de longs métrages au programme

Forte présence de réalisatrices au programme du 7e Brussels International Film Festival
Le Procès du chien de Laetitia Dosch

Le Brussels International Film Festival (BRIFF) donne rendez-vous aux cinéphiles belges pour découvrir en ce début d’été films inédits et classiques incontournables mettant en lumière le cinéma d’auteur international. Le festival organise notamment trois compétitions, où l’on relève une quasi parité toutes compétitions confondues, fait assez rare pour être relevé. Cette 7e édition, qui se tiendra du 25 juin au 3 juillet, ouvrira d’ailleurs avec la projection du premier long métrage de la cinéaste et comédienne suisse Laetitia Dosch, Le Procès du chien [+lire aussi :
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interview : Laetitia Dosch
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, présenté à Cannes dans la section Un certain regard.

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La Compétition Internationale nous entraînera de l’Argentine au Danemark en passant par la Corse, et compte à son générique quelques cinéastes d’envergure comme Yorgos Lanthimos, dont on pourra voir Kinds of Kindness [+lire aussi :
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, les frères Larrieu, dont on découvrira le dernier film, Le Roman de Jim [+lire aussi :
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interview : Arnaud et Jean-Marie Larrieu
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, tous les deux découverts à Cannes, ou encore Michel Franco, avec Memory, présenté à Venise l’année passée. Présence aussi de talents confirmés comme Claire Burger, dont on verra le troisième long métrage, Langue Etrangère [+lire aussi :
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interview : Claire Burger
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, ou encore Gustav Möller, avec Sons [+lire aussi :
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, deux titres dévoilés en compétition à la Berlinale. Deux duos de cinéastes seront également en lice, Zar Amir Ebrahimi et Guy Nattiv défendront Tatami [+lire aussi :
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, tandis que Maria Alché et Benjamin Naishtat présenteront El profesor [+lire aussi :
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interview : Benjamín Naishtat et María…
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. Dernier film en lice dans cette compétition, À son image [+lire aussi :
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interview : Thierry de Peretti
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de Thierry de Peretti, vu à la Quinzaine des Cinéastes de Cannes.

Du côté de la Director’s Week, sélection consacrée au cinéma européen, qui vise à mettre en lumière les talents émergents, sept films seront proposés. Tout d’abord, le documentaire danois The Mountains [+lire aussi :
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, de Christian Einshøj qui revient sur son trauma familial, suite au décès de son frère 25 ans auparavant. Documentaire familial aussi pour Maman déchire [+lire aussi :
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interview : Émilie Brisavoine
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d’Emilie Brisavoine, blessures que le temps ne guérit pas au programme également de la fiction La imatge permanent [+lire aussi :
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interview : Laura Ferrés
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de la réalisatrice espagnole Laura Ferrés. Famille toujours, à travers la rencontre d’une tante et une nièce dans Je’vida [+lire aussi :
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de la finnoise Katia Gauriloff. On retrouvera dans cette section la coproduction hispano-italienne Animal/Humano [+lire aussi :
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interview : Alessandro Pugno
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d’Alessandro Pugno, ainsi qu’un troisième documentaire, Riverboom, du Suisse Claude Baechtold, qui revient sur l’expérience du cinéaste, jeune journaliste débarqué en Afghanistan au lendemain du 11 septembre. Changement de ton enfin avec le dernier film au programme de cette section, Les Pistolets en plastique [+lire aussi :
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interview : Jean-Christophe Meurisse
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de l’iconoclaste cinéaste français Jean-Christophe Meurisse, qui vient de clôturer la Quinzaine des Cinéastes.

Last but not least, le festival organise également une Compétition Nationale regroupant 8 longs métrages. Parmi ceux-ci, on ne peut que noter la présence de trois documentaires au féminin et à la première personne, qui explorent tous les trois les questionnements de trois jeunes femmes, enfants de l’exil : D’Abdul à Leïla [+lire aussi :
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interview : Leila Albayaty
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de Leïla Albayaty, Les Miennes [+lire aussi :
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interview : Samira El Mouzghibati
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de Samira El Mouzghibati et Yalla, baba! [+lire aussi :
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interview : Angie Obeid
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 d’Angie Obeid. Une famille de vampires cette fois est également au coeur de la fiction de Céline Rouzet, En attendant la nuit [+lire aussi :
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interview : Céline Rouzet
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, alors qu’une fratrie cherche les racines du mal dans Les Enfants perdus [+lire aussi :
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interview : Michèle Jacob
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de Michèle Jacob. Dans le documentaire Stolen Life, Daniel Lambo suit le parcours d’enfants adoptés, arrachés à leurs parents dans leur pays d’origine. Dans Sauve qui peut [+lire aussi :
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interview : Alexe Poukine
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, Alexe Poukine se penche sur l’hôpital public, et s’interroge sur la possibilité de la bienveillance des soignants quand ils sont écrasés par une institution malveillante. Enfin, Stéphane Vuillet et Stéphane Xhroüet suive dans Katika Bluu [+lire aussi :
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le parcours de Baraka, ex-enfant soldat tout juste ex-filtré d’un groupe armé, qui tente de retrouver son enfance, sa famille, et sa place dans la société à Goma, au Congo.

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