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ARRAS 2024

115 films pour un anniversaire en beauté à Arras

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- La 25e édition de l’événement se déroulera du 8 au 17 novembre avec des Focus République Tchèque et Italie, et Cécile de France, Sandrine Kiberlain et Miki Manojlovic en invités d’honneur

115 films pour un anniversaire en beauté à Arras
After Party de Vojtěch Strakatý

En fanfare [+lire aussi :
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d’Emmanuel Courcol (dévoilé à Cannes et prix du public à San Sebastián) ouvrira demain le 25e Arras Film Festival qui proposera jusqu’au 17 novembre un très riche programme de 115 longs métrages, agrémenté par la présence de très nombreux talents accompagnant les oeuvres, notamment les invités d’honneur : la Belge Cécile de France (Par amour [+lire aussi :
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d’Élise Otzenberger), la Française Sandrine Kiberlain (Sarah Bernhardt la divine de Guillaume Nicloux) et le Serbe Miki Manojlovic (acteur fétiche d’Emir Kusturica). Feront également, parmi beaucoup d’autres, le déplacement arrageois, Vincent Lindon, Michel Hazanavicius, Louis Garrel, Anthony Bajon, Carine Tardieu, Fabrice du Welz ou encore Muriel Coulin.

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Au-delà de neuf prétendants européens à l’Atlas d’or (lire l’article) qui seront départagés par un jury présidé par Abel et Gordon, le programme inclut sept long métrages dans la section Visions de l’Est : The Trap [+lire aussi :
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de la Bulgare Nadejda Koseva, The Hungarian Dressmaker [+lire aussi :
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de la Slovaque Iveta Grófová, Block 5 [+lire aussi :
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du Slovène Klemen Dvornik, Maria’s Silence [+lire aussi :
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du Letton Davis Simanis, Raw Material [+lire aussi :
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 du Hongrois Martin Boross, Crossing Istanbul [+lire aussi :
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du Suédois Levan Akin et U Are The Universe [+lire aussi :
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de l’Ukrainien Pavlo Ostrikov. S‘y ajoute un Focus République Tchèque incluant After Party [+lire aussi :
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de Vojtěch Strakatý, The Gardener’s Year [+lire aussi :
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de Jiri Havelka et Year of the Widow [+lire aussi :
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de Veronika Lisková.

Au rayon Découvertes européennes se distingue un Focus Italie avec le Grand Prix vénitien Vermiglio ou la Mariée des Montagnes [+lire aussi :
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de Maura Delpero, Lettres siciliennes [+lire aussi :
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du duo Fabio Grassadonia - Antonio Piazza, Prima la vita [+lire aussi :
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de Francesca Comencini, et Io e il Secco [+lire aussi :
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de Gianluca Santoni. Sont également en vitrine When the Light Breaks [+lire aussi :
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de l’Islandais Rúnar Rúnarsson, Sous tension [+lire aussi :
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de la Grecque Penny Panayotopoulou, Maja, une épopée finlandaise [+lire aussi :
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de la Finlandaise Tiina Lymi, Berlin, été 1942 [+lire aussi :
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de l’Allemand Andreas Dresen, Kafka, le dernier été de ses compatriotes Judith Kaufmann et Georg Maas, Julie se tait [+lire aussi :
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du Belge Leonardo Van Dijl, La jeune fille à l’aiguille [+lire aussi :
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du Suédois Magnus von Horn et Eternal [+lire aussi :
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du Danois Ulaa Salim.

Un cinéma européen dans toute sa diversité qui mettra aussi évidemment à l’honneur la production française avec 23 long métrages en avant-première dont Joli Joli de Diastème, Toutes pour une de Houda Benyamina, Jouer avec le feu [+lire aussi :
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de Muriel et Delphine Coulin, La plus précieuse des marchandises [+lire aussi :
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de Michel Hazanavicius, L’Attachement [+lire aussi :
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de Carine Tardieu et Le Dossier Maldoror [+lire aussi :
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du Belge Fabrice Du Welz, ainsi que Saint Ex [+lire aussi :
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de Pablo Aguëro qui clôturera le festival.

À signaler également une section Perspectives du cinéma français avec Bonjour l'asile de Judith Davis, Brûle le sang [+lire aussi :
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d’Akaki Popkhadze, Little Jaffna [+lire aussi :
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de Lawrence Valin, La Mer au loin [+lire aussi :
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de Saïd Hamich et Vingt Dieux [+lire aussi :
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de Louise Courvoisier, mais aussi un programme Cinémas du monde (notamment les coproductions européennes Aïcha [+lire aussi :
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de Mehdi M. Barsaoui, Au pays de nos frères [+lire aussi :
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de Raha Amirfazli et Alireza Ghasemi, Hiver à Sokcho [+lire aussi :
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interview : Koya Kamura
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de Koya Kamura et Mexico 86 [+lire aussi :
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interview : César Díaz
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de César Diaz), deux rétrospectives ("Amour, perruque & musique" et "Il était une fois… la Yougoslavie"), des séances spéciales (dont le documentaire allemand Einhundertvier de Jonathan Schörning), le festival des enfants (neuf films dont Slocum et moi [+lire aussi :
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de Jean-François Laguionie et Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau [+lire aussi :
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interview : Gints Zilbalodis
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de Gints Zibalodis) et deux ciné-concerts.

Le tout sans oublier le volet professionnel avec la 18e édition des Rencontres professionnelles du Nord (du 12 au 15 novembre) et les pitchings de la Bourse d’aide au développement des Arras Days (le 16 novembre) avec en prime le lendemain un zoom sur plusieurs projets tchèques.

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