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PRODUCTION / FINANCEMENT France / Belgique

Pierre Salvadori tourne La Vénus électrique

par 

- Pio Marmaï, Anaïs Demoustier, Gilles Lellouche, Vimala Pons et Gustave Kervern au casting d’une production Les Films Pelléas vendue par Goodfellas

Pierre Salvadori tourne La Vénus électrique
L'acteur Pio Marmaï (© Kacy Bao) et l'actrice Anaïs Demoustier (© 2022 Fabrizio de Gennaro for Cineuropa - fadege.it, @fadege.it)

Depuis le 26 mai, Pierre Salvadori (apprécié notamment avec En liberté ! [+lire aussi :
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, dévoilé à la Quinzaine des Réalisateurs 2018 et nommé autres au César 2019 du meilleur film) tourne son 11e long métrage : La Vénus électrique.

Au casting se distinguent Pio Marmaï (nommé aux César 2019 et 2022 du meilleur acteur pour En liberté ! et La Fracture [+lire aussi :
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, et dans la catégorie second rôle en 2023 et 2024 pour En corps [+lire aussi :
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et Yannick [+lire aussi :
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, en salles françaises le 27 août dans Le Roi Soleil [+lire aussi :
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), Anaïs Demoustier (César 2020 de la meilleure actrice pour Alice et le maire [+lire aussi :
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, nommée trois fois comme meilleur second rôle dont cette année pour Le Comte de Monte-Cristo [+lire aussi :
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) et Gilles Lellouche (nommé aux César 2019 et 2022 du meilleur acteur pour Pupille [+lire aussi :
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et BAC Nord [+lire aussi :
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, et que l’on verra le 15 octobre prochain dans Chien 51). Sont également de la partie Vimala Pons (nommée au Lumière 2014 du meilleur espoir pour La fille du 14 juillet [+lire aussi :
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, à son avantage récemment notamment dans dan Mikado [+lire aussi :
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et Vincent doit mourir [+lire aussi :
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) et Gustave Kervern (qui retrouve le réalisateur après Dans la cour [+lire aussi :
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, en salles le 24 septembre dans L’homme qui a vu l’ours qui a vu l’homme).

Écrit par le réalisateur avec Benoît Graffin et Benjamin Charbit (un trio vainqueur du Lumière 2019 du meilleur scénario pour En liberté !), le scénario plonge à Paris, au début du XXe siècle. Persuadé que sa femme Irène est morte par sa faute, Antoine Balestro, peintre en vogue, n’arrive plus à se remettre au travail et désespère Armand, son galeriste. Un soir, en quête de pardon, Antoine, ivre, tente d’entrer en contact avec Irène par l’intermédiaire d’un médium. Sans le savoir, il parle en réalité avec Suzanne, une modeste saltimbanque, qui ne connaît rien à l’au-delà et s’est faufilée dans la roulotte de la voyante pour voler de la nourriture…

La Vénus électrique est produit par Philippe Martin et David Thion pour Les Films Pelléas (partenaire de tous les longs de Salvadori depuis Cible émouvante en 1993), et coproduit par France 2 Cinéma et par la société belge Versus Production. Préacheté par Canal+, Ciné+/OCS et France Télévisions, le long métrage bénéficie également du soutien de l’avance sur recettes du CNC, de la région Ile-de-France, de Wallimage, de Pio & Co, ainsi que des Sofica Cinéaxe, Cinécap, Indéfilms et Palatine. Les 10 semaines de tournage se dérouleront en Belgique (à Liège et dans ses environs), à Paris et en région parisienne jusqu’au 1er août avec Julien Poupard (nommé aux César 2020 et 2023 de sa spécialité pour Les Misérables [+lire aussi :
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et Les Amandiers [+lire aussi :
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) à la direction de la photographie. Les ventes internationales sont pilotées par Goodfellas et la distribution dans les salles françaises sera assurée par Diaphana.

Pour mémoire, Les Films Pelléas ont produit entre autres les Palmes d’or 2025 et 2023 Un simple accident [+lire aussi :
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de Jafar Panahi et Anatomie d’une chute [+lire aussi :
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de Justine Triet. En post-production pointe La vie d’une femme de Charline Bourgeois-Tacquet (avec Léa Drucker en tête d’affiche) et en préparation If Love Should Die de Mia Hansen-Love.

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