04/11/2025 - 122 longs métrages pour la 26e édition de l’événement se déroulera du 7 au 16 novembre avec Léa Drucker et Lucas Belvaux en invités d’honneur et un focus sur la production polonaise

L’âme idéale d’Alice Vial ouvrira vendredi prochain le 26e Arras Film Festival, une manifestation très populaire (50 000 spectateurs l’an dernier) qui proposera du 7 au 16 novembre une flamboyante programmation de 122 longs métrages accompagnés par de très nombreux talents, notamment les invités d’honneur : l’actrice française Léa Ducker (Dossier 137 [+lire aussi :
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interview : Dominik Moll
fiche film]) et le cinéaste belge Lucas Belvaux (Les Tourmentés [+lire aussi :
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interview : Lucas Belvaux
fiche film]).

Au-delà de neuf prétendants européens à l’Atlas d’or (lire l’article) qui seront départagés par un jury présidé par Stéphane Demoustier, le programme inclut neuf long métrages récents dans la section Visions de l’Est : Franz K. [+lire aussi :
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interview : Agnieszka Holland
fiche film] de la Polonaise Agnieszka Holland, Orphan [+lire aussi :
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interview : László Nemes
fiche film] du Hongrois László Nemes, Little Trouble Girls [+lire aussi :
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interview : Urška Djukić
fiche film] de la Slovène Urška Djukić, Le garçon qui faisait danser les collines [+lire aussi :
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fiche film] du Macédonien Georgi M. Unkovski, Broken Voices [+lire aussi :
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interview : Ondřej Provazník
fiche film] du Tchèque Ondrej Provaznik et quatre titres polonais (pays mis à l’honneur cette année par le festival), Chopin, Chopin! de Michal Kwiecinski, Mama de Or Sinai, Under The Grey Sky [+lire aussi :
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interview : Mara Tamkovich
fiche film] de Mara Tamkovich et Simona Kossak d’Adrian Panek.

Au rayon des Découvertes européennes se distinguent des films venus d’Espagne (Les Dimanches [+lire aussi :
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interview : Alauda Ruiz de Azúa
fiche film] d’Alauda Ruíz de Azúa et Sorda [+lire aussi :
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fiche film] d’Eva Libertad), d’Italie (Une année italienne [+lire aussi :
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fiche film] de Laura Samani et Vivaldi et moi [+lire aussi :
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fiche film] de Damiano Michieletto), d’Irlande (Christy [+lire aussi :
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interview : Brendan Canty
fiche film] de Brendan Canty), de Belgique (On vous croit [+lire aussi :
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interview : Arnaud Dufeys et Charlotte…
fiche film] de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys, Skiff [+lire aussi :
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fiche film] de Cecilia Verheyden, et Sauvons les meubles de Catherine Cosme), d’Islande (L’amour qu’il nous reste [+lire aussi :
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interview : Hlynur Pálmason
fiche film] de Hlynur Palmason), de Finlande (La lumière ne meurt jamais de Lauri-Matti Parppei) et d’Allemagne (Zweitland de Michael Kofler et la production germano-française Lady Nazca du Suisse Damien Dorsaz).

Au rayon Toiles de maîtres seront notamment projetés Los tigres [+lire aussi :
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fiche film] de l’Espagnol Alberto Rodriguez, La Grazia [+lire aussi :
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fiche film] de l’Italien Paolo Sorrentino et le primé cannois L’agent secret [+lire aussi :
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fiche film] du Brésilien Kleber Mendonça Filho, entre autres.

Un cinéma européen dans toute sa diversité qui mettra aussi en avant la production française avec une cascade d’avant-premières dont le primé vénitien À pied d’œuvre [+lire aussi :
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interview : Valérie Donzelli
fiche film] de Valérie Donzelli, Coutures [+lire aussi :
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interview : Alice Winocour et Louis Ga…
fiche film] d’Alice Winocour, le documentaire Le chant des forêts [+lire aussi :
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fiche film] de Vincent Munier, Les enfants vont bien [+lire aussi :
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interview : Nathan Ambrosioni
fiche film] de Nathan Ambrosioni (primé à Karlovy Vary) et Vie privée [+lire aussi :
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fiche film] de Rebecca Zlotowski qui clôturera le festival.

Dans la section des films tournés en région Hauts-de-France pointent Grand Ciel [+lire aussi :
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interview : Akihiro Hata
fiche film] de Akihiro Hata, Les Filles du ciel [+lire aussi :
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interview : Bérangère McNeese
fiche film] de la Belge Bérangère McNeese et Animal Totem [+lire aussi :
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fiche film] de Benoît Delépine. À signaler également une section Perspectives du cinéma français avec L’île de la demoiselle de Micha Wald (article), La petite cuisine de Mehdi de Amine Adjina (lire l’article), L’Étrangère de Gaya Jiji et N121 - Bus de nuit de Morade Aïssaoui, mais aussi un programme Cinémas du monde (sept films notamment les coproductions européennes Rue Malaga [+lire aussi :
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interview : Maryam Touzani
fiche film] de Maryam Touzani et Un monde fragile et merveilleux [+lire aussi :
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interview : Cyril Aris
fiche film] de Cyril Aris).

Un très riche menu complété par deux rétrospectives (une dédiée à la cinéaste hongroise Márta Mészáros et l’autre à la thématique "Empire, amours et tragédies – Une histoire de la monarchie austro-hongroise), des séances spéciales (L’inconnu de la Grande Arche [+lire aussi :
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interview : Stéphane Demoustier
fiche film] de Stéphane Demoustier et le documentaire France, une histoire d’amour de Yann Arthus-Bertrand), le festival des enfants et deux ciné-concerts.

Le tout sans oublier le volet professionnel avec la 19e édition des Rencontres professionnelles du Nord (du 12 au 14 novembre) et les pitchings de la Bourse d’aide au développement des Arras Days (le 15 novembre) avec en prime le lendemain un zoom sur plusieurs projets polonais.