email print share on Facebook share on Twitter share on LinkedIn share on reddit pin on Pinterest

INDUSTRIE France

La FICAM sous les projecteurs

par 

La crème des professionnels de l’industrie cinématographique hexagonale s’était donnée rendez-vous hier soir à Paris pour la première Nuit des Industries techniques de la création, un évènement organisé par la Fédération des Industries du Cinéma, de l'Audiovisuel et du Multimédia (Ficam) pour "mettre en lumière tout un pan de l'industrie cinématographique et audiovisuelle trop souvent laissé dans l'ombre". Parmi les personnalités présentes figuraient notamment le ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres, la directrice du Centre National de la Cinématographie (CNC), Véronique Cayla, le président de la Chambre syndicale des producteurs de films (CSPF), Jean-François Lepetit, son homologue de la Fédération nationale des cinémas français (FNCF), Jean Labbé, sans oublier le trio maître d’œuvre du Festival de Cannes: Gilles Jacob, Thierry Frémaux et Catherine Démier. A noter parmi les temps-forts de la soirée, la remise par Roman Polanski du trophée Ficam de l'Invention décerné à Jean-Marie Lavalou et Alain Masseron, les deux créateurs de la Louma.

(L'article continue plus bas - Inf. publicitaire)

Regroupant 120 entreprises et 10 000 salariés, la Fédération présidée par Thierry de Segonzac a également annoncé la création d’une Fondation pour le court métrage, un secteur pour lequel la France fait figure d’exemple (1000 courts produits par an, dont 400 agrées par le CNC) en matière de renouvellement des talents artistiques et techniques. Par ailleurs, la Ficam a profité de l‘occasion pour réaffirmer son attachement au crédit d’impôt cinéma et audiovisuel en vigueur depuis deux ans dans l’Hexagone et qui a contribué à relocaliser près de la moitié des productions qui envisageaient de quitter la France en 2004 et 2005, générant ainsi 150 000 journées de travail supplémentaires (près de 300 semaines de tournage, soit une trentaine de longs métrages et vingt téléfilms). La Ficam, pour qui ces mesures d’incitation à la relocalisation ne portent pas atteinte aux intérêts des autres cinémas européens, préconise même la mise en place d’un crédit d’impôt destiné aux productions internationales.

(L'article continue plus bas - Inf. publicitaire)

Vous avez aimé cet article ? Abonnez-vous à notre newsletter et recevez plus d'articles comme celui-ci, directement dans votre boîte mail.

Privacy Policy