Latido danse le Fado
par Annika Pham
La société de ventes espagnole Latido Film, dirigée par Massimo Saidel, séduit les acheteurs étrangers avec le film musical de Carlos Saura Fados [+lire aussi :
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Cette dernière addition au cycle musical commencé par le maître espagnol il y a quinze ans avec Sevillanas retrouve les racines de la musique et de la danse Fado, de ses origines africaines et brésiliennes à la nouvelle vague des "fadistas" modernes. Le film est produit par le fils de Carlos, Antonio Saura, pour Zebra Producciones. Il a également été vendu pour l'ex-Yougoslavie (MCF), l'Espagne Wanda, le Canada (K Amerique), le Brésil (Europa Film) et la Turquie. Des négociations sont en cours avec l'Italie.
Ce film-événement n'ayant malheureusement pas pu être prêt pour Cannes, Saidel a des vues sur un autre grand festival pour faire son lancement international.
Small Lives, d'Enrique Gabriel, dont le tournage commencera en juillet, a été acheté par la Grèce (Ama) et la Suisse et sera distribué en Espagne par Alta Film (partenaire de deux sociétés fondatrices de Latido, Tornasol et Continental).
El cuerno de la abundancia, du réalisateur cubain de Fresa y Chocolate, Juan Carlos Tabio, à été vendu à CNC pour le Benelux, tandis que la société bruxelloise Victory a acheté El Metodo et Viva Cuba [+lire aussi :
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“Tous les acheteurs sont ici, mais ils sont très sélectifs, a souligné Saidel. Aujourd'hui, pour vendre des films d'auteurs, nous avons besoin des festivals pour créer un bouche-à-oreille ou de films-événements comme Fados et le dessin-animé De Profundis [+lire aussi :
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fiche film], qui sera bientôt projeté à Valence au Musée océanographique, accompagné par un orchestre symphonique".
(Traduit de l'anglais)
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