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FESTIVALS Roumanie

Les producteurs indépendants en vedette à Constanta

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Pour le troisième été d’affilée, le Festival international des producteurs indépendants (IPIFF) a lieu sous le soleil de la ville roumaine de Constanta, sur la Mer Noire. Le festival démarre aujourd’hui pour s'achever le 20 juillet.

L'événement a cette année plus d’ampleur, avec la déjà reconnue Formation à la production offerte par la Nouvelle alliance des producteurs de David Pope, qui adopte désormais une structure bipartite pour accueillir d'une part les étudiants et producteurs débutants et d'autre part les producteurs aguerris.

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La course au Trophée Mer Noire promet d'être palpitante. Sont en lice des films déjà primés, comme La Môme [+lire aussi :
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, Golden Door [+lire aussi :
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, There Will Be Blood, No Country for Old Men et My Blueberry Nights [+lire aussi :
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, ainsi que des titres locaux, comme Rest Is Silence [+lire aussi :
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de Nae Caranfil et Survivor du vétéran Sergiu Nicolaescu.

La compétition ouverte aux écoles de cinéma sera toute aussi rude : les meilleurs courts métrages d’étudiants roumains feront face à des courts bulgares, slovènes et allemands présentés au sein d'une sélection éclectique de 64 films.

Parmi les autres sections du festival, on peut citer la compétition destinée aux longs et courts métrages documentaires et le volet Panorama du cinéma roumain, qui propose un aperçu des nouveaux films nationaux. Des projections de gala seront organisées pour Grindhouse de Robert Rodriguez et Quentin Tarantino, Gone Baby Gone de Ben Affleck, Elevator de Gabriel Dorobanţu, Crossing Dates d’Anca Damian et Romania, Romania II de Radu Gabrea.

"Notre festival a pour principes la tolérance et le respect", explique Dinu Tanase, président de l'Union des producteurs roumains de cinéma et d'audiovisuel et organisateur du festival, qui est financé par le Centre de la cinématographie roumain et le Conseil local de Constanta.. "L'événement a pour objectif de donner aux professionnels roumains et étrangers l'occasion de se rencontrer et de discuter dans un contexte informel", poursuit Tanase, qui promet que la maladresse de la précédente édition est bel et bien du passé.

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(Traduit de l'anglais)

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