email print share on Facebook share on Twitter share on LinkedIn share on reddit pin on Pinterest

FESTIVALS Italie

150 longs métrages à Rome et beaucoup d'Européens en compétition

par 

Le Festival international de Rome, qui a perdu son nom de "Fête" par décision de son président Gian Luigi Rondi (qui a également prévu d'italianiser le nom des sections) et se tiendra du 22 au 31 octobre dans la Ville Éternelle, promet de conjuguer sa vocation populaire avec une haute qualité culturelle, avec l'institution d'un double jury, l'un constitué de spectateurs (sur le modèle du "People’s Choice" de Toronto), l’autre de critiques de cinéma importants (dont Michel Ciment).

(L'article continue plus bas - Inf. publicitaire)

Les deux jurys se verront soumettre, parmi les 150 longs métrages de la sélection, les titres de la Compétition officielle, dévoilés ce matin. La compétition comprend les films de deux sections : “Cinema 2008”, dirigée par Teresa Cavina et Giorgio Gosetti, et “Anteprima”, dirigée par Piera Detassis.

Pour représenter l'Italie dans la course au Marc-Aurèle d'or, outre les titres déjà annoncés (Il passato è una terra straniera [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
de Daniele Vicari et L’uomo che ama [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
de Maria Sole Tognazzi), on trouve aussi Galantuomini [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
d'Edoardo Winspeare, les premiers films Un gioco da ragazze [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
de Matteo Rovere et Parlami di me [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
de Brando De Sica, ainsi que les coproductions El Artista [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
(des Argentins Gastón Duprat et Mariano Cohn) et Resolution 819 [+lire aussi :
critique
fiche film
]
de Giacomo Battiato (financé majoritairement par la France et la Pologne).

La liste des candidats européens ne s'arrête pas là. Comme l'a suggéré Cineuropa ces derniers jours, on retrouve en sélection les films français Aide toi et le ciel t’aidera [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
de François Dupeyron, Le Plaisir de chanter [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
d'Ilan Duran Cohen, Cliente [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
de Josiane Balasko et Un Barrage contre le Pacifique [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
, adaptation par le Cambodgien quasi-naturalisé Rithy Panh du roman de Marguerite Duras. Le Portugais João Botelho présente A corte do Norte [+lire aussi :
critique
fiche film
]
, adapté d'un roman d'Agustina Bessa Luis, écrivain chère à Manoel de Oliveira, et le Polonais Krzysztof Zanussi propose A Warm Heart [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
.

Sont également en lice Long Shadows [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
, deuxième film de l'Allemande Connie Walter (qui réfléchit ici sur le terrorisme à la manière de von Trotta dans Les Années de plomb), la coproduction anglo-hongroise Good [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
, du cosmopolite Vicente Amorim (que la dérive nazie d'un professeur de littérature dans l'Allemagne des années 1930), et Easy Virtue [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
de l'Australien Stephan Elliott, qui après avoir refait un Claude Miller (Eye of the Beholder pour Garde à vue) franchit cette fois la Manche avec le remake d'un Hitchcock de 1928.

Hors-compétition, le vieux continent est représenté par le film collectif 8/Huit, projet humanitaire français réalisé par huit cinéastes commissionnés du monde entier (de Jane Campion à Gaspar Noé en passant par Wim Wenders), la grosse production historico-politique Der Baader Meinhof Komplex [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
d'Uli Edel, la coproduction anglo-franco-italienne The Duchess [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
de Saul Dibb, la comédie dramatique Parlez-moi de la pluie [+lire aussi :
bande-annonce
fiche film
]
d'Agnès Jaoui et le film italien Si può fare [+lire aussi :
critique
bande-annonce
fiche film
]
de Giulio Manfredonia.

Feront l'objet de projections spéciales le titre britannique The Garden of Eden de John Irvin (adaptation du roman d'Hemingway), les films italiens Aspettando il sole d'Ago Panini, le controversé Il sangue dei vinti de Michele Soavi et le film de clôture, L’ultimo Pulcinella de Maurizio Scaparro.

(L'article continue plus bas - Inf. publicitaire)

(Traduit de l'italien)

Vous avez aimé cet article ? Abonnez-vous à notre newsletter et recevez plus d'articles comme celui-ci, directement dans votre boîte mail.

Privacy Policy