11/04/2023 - La costumière distinguée prépare une comédie noire située après la guerre civile espagnole, interprétée par Antonio de la Torre et Carmen Machi, produite par Ficcion Producciones et Noodles Production

La réalisatrice Clara Bilbao et l'acteur Antonio de la Torre sur le tournage de Tratamos demasiado bien a las mujeres

Depuis la fin mars dernier, la Galice accueille le tournage de Tratamos demasiado bien a las mujeres [+lire aussi :
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fiche film], qui marque le passage à la réalisation de longs-métrages de la costumière Clara Bilbao, déjà lauréate de plusieurs Goya (pour son travail sur Blackthorn [+lire aussi :
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fiche film], Persone n'attend la nuit [+lire aussi :
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interview : Isabel Coixet
fiche film] et Gun City [+lire aussi :
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fiche film]) et auteure de deux courts-métrages (Prohibido arrojar cadáveres a la basura en 2014, avec María Botto dans le rôle principal, et Brexit en 2018).

Le film, choral, est interprété par une troupe menée par Carmen Machi (vue récemment dans Cerdita [+lire aussi :
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interview : Carlota Pereda
fiche film] et Rainbow [+lire aussi :
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fiche film]) et Antonio de la Torre (l'année dernière dans Historias para no contar [+lire aussi :
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interview : Cesc Gay
fiche film] et Entre la vie et la mort [+lire aussi :
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interview : Giordano Gederlini
fiche film]), avec la participation de Luis Tosar (à l'affiche à partir du 28 avril dans le thriller Fatum [+lire aussi :
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fiche film]), Diego Anido (la grande révélation de As bestas [+lire aussi :
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interview : Rodrigo Sorogoyen et Isabe…
fiche film]), ainsi qu'Isak Ferriz, Oscar Ladoire, Julián Villagrán, Cris Iglesias, Oleg Krukinova, Ayax, Nancho Novo, Gonzalo de Castro, Iván Marcos, Nicolas Grandhomme, Felipe Pizarán et Juan Luis Cano.

Ce long-métrage est une comédie noire scénarisée par Miguel Barros (auquel on doit Blackthorn, Personne n'attend la nuit et les séries Gigantes, Los favoritos de Midas et Libertad [+lire aussi :
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fiche film]) qui s’inspire d'On est toujours trop bon avec les femmes de Raymond Queneau (1903-1976), publié en 1947 sous le pseudonyme de Sally Mara. L'oeuvre de Queneau a déjà été portée sur l’écran, notamment Zazie dans le métro (par Louis Malle en 1960) et le livre dont on parle, adapté dans un film franco-italien réalisé en 1971 par Michel Boisrond. Sauf qu’à présent, "l'angle est différent : des sujets importants sont abordés avec désinvolture, sur le ton de la satire, la mélancolie et l’humour", ont affirmé les producteurs.

L'intrigue s'articule autour de Remedios Buendía (incarnée par Carmen Machi), qui défend sa patrie et qui est prête à combattre pour elle, par-dessus tout. Sauf qu'un jour fatidique, pendant l'automne 1945, un groupe de maquisards en fuite a la mauvaise idée de prendre le bureau de poste où elle essayait, ravie, sa robe de mariée. C'est le moment pour Remedios de montrer jusqu’où elle est prête à aller pour défendre ses valeurs. Et rien ne pourra l’arrêter.

L’équipe du film comprend Imanol Nabea (Ilargi Guztiak. Todas las lunas [+lire aussi :
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interview : Igor Legarreta
fiche film]) à la photographie, Curru Garrabal (El test) aux décors, ainsi que la monteuse Ascen Marchena (qui fait partie de l’équipe de montage habituelle de Pedro Almodovar, et s'occupe en ce moment de la série qu'il produit Mentiras pasajeras [+lire aussi :
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interview : Esther García
fiche série]). La bande originale a été confiée à Nacho Mastretta et Marina Sorín, qui ont déjà travaillé ensemble sur Muchos hijos, un mono y un castillo [+lire aussi :
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interview : Gustavo Salmerón
fiche film].

Tratamos demasiado bien a las mujeres est produit par Ficción Producciones (Mamen Quintas et Julio Casal) en coproduction avec la société française Noodles Production, avec le soutien de la Xunta de Galicia, TVE, TVG et Prime Video.

(Traduit de l'espagnol)